Ou peut-être plus simplement, modèle noir. Plus simplement pour un large pan (non la totalité). Mais ce n'est pas question de zones, de parts, de quantité : question au contraire d'histoire des forces critiques et politiques. Ici alors bien : noir, c'est bien par WEB Du Bois, par CRL James ; M. Garvey s'il faut. Et de noir, brown (quel moment d'émergence? J'en prends la trace dans Spivak, "Can the Subaltern Speak?", "brown woman" & "white man"). Sud. Une autre branche que celle exactement des luttes anticoloniales en leur mondialité spécifique (3rd, socialiste, internationaliste, dont panafricaniste).
En tout cas, lisant J. Pouchepadass dans La Situation postcoloniale (dir. MC Smouts, 2007, presses de Sciences Po, cadre du CERI) : qui reprend avec finesse l'histoire des débats contre les poco : une note. Dans le champ de forces polémique sur "l'intellectuel postcolonial" : argument de la lutte des classes, et its playing out dans la lutte des places, cette petite notion pénétrante ciselée par la sociologie des champs culturels Bourdieu-Charle etc. (en continuité avec celles de carrière comme trajectoire individuelle dans les champs) Les fâchés : Arif Dirlik, Aijaz Ahmad, Kwame Anthony Appiah - tous aux franges, aux alternatives, différenciantes, de la position grave du modèle Inde : turc, Chine, arabe, Afrique, ces mouvements ces histoires qui sont lourdes d'histoire assez pour déséquilibrer les points d'arrêt posés depuis le modèle Inde. Ces forces, critiques, effectivement remobilisantes. Et moins malgré la légère mauvaise foi (ici aussi, concept de sociologie, Bourdieu le prépare comme tel, "Champ de production culturelle") que par elle, en tant qu'elle est productrice, par le poids qu'elle lance dans un ensemble à l'équilibre, de physiques critiques renouvelées. Décalages, remobilisations.
GROS LANCE-FLAMME ET MINUSCULE MOTION
Il y a 10 mois
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