Le marxisme a dégagé toutes ces avenues, ces visions qui embrassent large (et par là filent vers des gigantismes aux erreurs catastrophiques, aussi). De même, les critiques de la WW1.
E. Filhol, La Centrale, des ouvriers des industries nucléaires, 16 : "Chair à neutron. Viande à rem. On double l'effectif pour les trois semaines que dure un arrêt de tranche. [...] Ce que chacun vient vendre c'est ça, vingt millisieverts, la dose maximale d'irradiation autorisée sur douze mois glissants. Et les corps peuvent s'empiler en première ligne, il semble que la réserve soit inépuisable."
Il y a la sentimentalité de ça (les visions génocidaires, populicidaires, infernales - le XIXème les a rôdées, à partir des notions de masse et de classe etc.). Mais et la qualité critique de la perspective systématique. Qui fait voir les sujets comme traversés, par des forces, collectives, aux puissances méta-individuelles.
D'une part : Le Bon et les foules, et tout ce qui s'ensuit.
De l'autre : the flip between méta-individuel et transindividuel. Un drame tendu là, de la démocratie. Culture/politique, bien repéré et décliné par les marxismes successifs ; peuple/peuple.
GROS LANCE-FLAMME ET MINUSCULE MOTION
Il y a 10 mois
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