mardi 19 mars 2013

Hypocrisie - labilité des points de vue

Tout, beaucoup, part de l'hypocrisie : la perplexité devant cette notion, qu'on a opposé dans des expériences d'enfance.
Déroulée aussi avec l'autoritarisme, dans un composé par encore tout à fait tiré au clair - ou la crainte de l'accusation légitime, le sentiment de piégé dans, l'autoritarisme.
Et dans la politesse, et ses apories pratiques.
Pratiques du sujet et de l'apprentissage de la subjectivation ordinaire, quotidienne ; itérative et relationnelle.
Ce point de départ, et qui a à rester tel, relance. Sur le processus au-ras de la subjectivation sociale. De même les ras de peuple, les ras de positions d'énonciation.

Le culturalisme, par exemple, permet une distance de vue où l'hypocrisie (extensible en ce sens à des effets comme la corruption, l'Etat failli, les populismes, toutes les configurations du pseudo [Cassin]) sont une plasticité et non seulement un défaut moral. Jamais de sous-politique, de sous-peuple, de sous-sujet, de sous-relation. On est toujours dans. Ce sont les catégories du entier, de l'hypostasié, de la figure, qui coupent dans les continus.

L'hypocrisie et, par exemple, les situations multi-adressées, ou simplement les situations successives, où le sujet ne peut que se refaire - et se dédire.

Et : la question de savoir. Une -logie, dans son différentiel avec une -ique. Le désir comme savoir et le savoir de nature désirante. L'implication intime du savoir-désir dans la pratique-observation de l'éthique.

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