lundi 18 mars 2013

Sakuntala

Kalidasa, autour du milieu du IIIeme siècle.
Lu en traduction anglaise, Monier-Williams, y compris avec son introduction, bien enracinée dans son temps indianiste, britannico-allemand.
L'étonnement d'un rapport direct possible avec ce texte hyper-médié : un classique universel, Goethe, les traditions cumulées de la postérité critique indienne, de l'indianisme européen multinational et son classicisme moderne, et de la tradition postcoloniales. Tissage des contextes, qui lui fait un bark-mantle de brouhaha historique. Un fourré. Et la traduction, which the reading needs to place.
Pourtant ce charme immédiat, de la pastorale tendre, attentive, affectueuse aux corps. Fraîcheur en effet. Et le poème tient dès les premiers lignes. Lumineux.
Comment imaginer ça. 

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