mercredi 15 octobre 2014

Transitions : mondial, France

Bonnes transitions, éclairantes, comiques dans leurs effets de décillement :

par le mondial au sortir, au prolongé du postcolonial, le retour aux coordonnées de la guerre froide, réintégrant dans le champ la dynamique marxiste, l'histoire de l'Europe et celle d'une autre Asie que la coloniale britannique, Amérique latine toujours en coin aveugle partiel mais, Trico. Qui amènent au néocolonialisme, et bien aux mondialisations. Au capitalisme.

par l'Inde entre les savoirs, un séjour dans R. Lardinois et les genèses parisiennes de l'orientalisme, les dynamiques du 19ème siècle vues en décalé de France - mais plus intimement, et plus difficile pour cette raison à cerner, c'est en-dedans : un rapport plus aigre, moins émerveillé, aux matériaux, sachant mieux y repérer les failles et les sous-textes, les humeurs idéologiques et les charges culturelles complexes été les scepticismes, y lire les feuilletages de discours (pour une part - tant encore à décrypter, comique aussi. Voir les découvertes par Castoriadis, SouB et toujours mai 1968.) Qui sont une école renouvelée pour l'étranger et pour le scalpel des articulations ; l'analyse.
Bien sûr que l'anglophonie - la langue étrangère - est une ressource pour se cacher et pour s'exposer en même temps. En ce sens je ne cherche pas le bilinguisme. Libération et protection, isolation.
Reprenant par la France le français donc. Qui m'est permis par une nouvelle latitude comparatiste. 

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