Précisément, comme posé par Simon Gikandi (2002 piece on "G° and the Claims of Postcoloniality"), c'est le point d'origine du discours 'global' dans les sciences sociales, puis leur recours aux concepts des Postcolonial studies (hybridity, difference, dit-il ; Roland Robertson sur la même ligne d'argument ajoute créolisation), qui forme un récit de constitution d'un plan de discours.
Bien une question des cultures scientifiques - et des inouïs contemporains qui appellent des prises nouvelles.
Je note quand même, même avec ce thème recurrent d'une perte du politique (Hardt et Negri par ex.) et d'une culturalisation des perspectives (Gikandi, qui ne fait que la remarquer, dans cette séquence d'argument en tout cas) ; des dynamiques nouvellement élastiques entre local et global ; et autres fils caractéristiques en tant qu'apports à l'interface des GS et Poco : que la question de la politique des savoirs n'est pas tissée avec.
Prendre par ce qu'il y a à entendre dans les travaux sur l'université contemporaines, avec alors ses reprises dans le statu quo ante : Graff et les Culture Wars, et jusqu'en amont a la Cold Culture. Et tout l'echeveau qui devient disponible par là.
Bien une question des cultures scientifiques - et des inouïs contemporains qui appellent des prises nouvelles.
Je note quand même, même avec ce thème recurrent d'une perte du politique (Hardt et Negri par ex.) et d'une culturalisation des perspectives (Gikandi, qui ne fait que la remarquer, dans cette séquence d'argument en tout cas) ; des dynamiques nouvellement élastiques entre local et global ; et autres fils caractéristiques en tant qu'apports à l'interface des GS et Poco : que la question de la politique des savoirs n'est pas tissée avec.
Prendre par ce qu'il y a à entendre dans les travaux sur l'université contemporaines, avec alors ses reprises dans le statu quo ante : Graff et les Culture Wars, et jusqu'en amont a la Cold Culture. Et tout l'echeveau qui devient disponible par là.
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