dimanche 4 janvier 2015

Sinologies - langues des

Quelles langues dans les sinologies ? Comment les situations s'y distinguent-telles de l'indologie ?

Le volume La Pensée en Chine aujourd'hui (par exemple sur l'écriture, Viviane Alleton) évoque spontanément prioritairement de l'anglais. Qui a nécessairement une autre valeur que dans le cas des savoirs sur l'Inde.

'La' sinologie, mise à distance dans le geste anti-orientaliste, et repoussoir pour les 'études culturelles', 'l'école chinoise' de littérature (comparée, en comparé distingué des écoles francaise en américaine, au moins dans la présentation de Zhang Yinde), le 'nationalisme culturel', nativiste, le mot d'ordre de la 'sinité', etc.

Une philologie chinoise établie au 18ème, dite 'études critiques' (comment est générée une telle traduction ?, V. Alleton p. 248). Dai Zhen.
Venant après une 'science phonologique s'[étant] constituée à la suite de l'introduction du bouddhisme et des contacts avec l'écriture sanskrite'.
Histoire de l'écriture chinoise dans ses adoptions dans des régions sans écriture prealable, Japon Corée Vietnam (contrairement aux zones de langues-écritures indiennes, sogdiennes, perses, arabes, à écritures 'plus ou moins' connues.

Sinologie japonaise, par exemple : 1866, choc au mémoire rendu par Hisoka Maegima appelant à 'l'élimination des caractères chinois'. Mouvement d'occidentalisation du Japon au seuil de Meiji, 'quitter l'Asie et rejoindre l'Europe.' (282, A. Chend dir.). 

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