Rancière fait du bien, bien qu'on lui ait forcé la main, et bien que les philosophes et le rôle, etc. Mais En quel temps vivons-nous ?, qui sort en ce moment, passe bien par toute la série des questions qui ont ponctué les derniers mois et les cadre (par l'égalité), les situe, les trie. Bonne reprise, labour.
. question clé de la crise de la politique représentative, qu'il retire aux républicanistes (primaires partisanes, expostulations quant à la participation électorale, croyance dans le jeu 'démocratique' du moins pire pour les présidentielles) comme aux radicalités marxistes espérant l'aboutissement conclusif du délitement.
. question de Nuit debout et des mouvements des places, printemps 2016 partout en France (le désir de communauté n'est pas la même chose que, 1850, la désaliénation dans 'la sociale', toute trouvée dans le travail et son horizontalité).
. question des populismes, plus en-dessous, pris par dedans plutôt que d'accepter le jeu de langage donné, en effet, par 'l'état des choses'. Pris, plutôt, par la question du vrai peuple, quelle que soit la position politique où elle est construite : le peuple étant après, car produit, et non avant le faire politique, ni le peuple décidant de ses représentants, ni le peuple réel de la lutte des classes préexistant aux ou postrévélé par un retournement alternatif ou par la ruine finale du capitalisme.
Pour une pragmatique, au moins, du peuple, il faut au moins un pas de côté hors du vrai et faux (les apparences, l'illusion, la fausse conscience donc). Cf étude sur Taguieff et le pseudo.
Rancière a la sienne.
Elle permet des prises critiques. Je prête l'oreille à celles qui désarticulent, examinent, les radicalités actuellement à l'offre. Comité invisible, mouvements des places, espoirs de la fin du capitalisme par la vrille dernière du postindustriel cognitaire, le biopolitique, Virno et Agamben, sans doute aussi les débats sur l'absence de demands (et la forme-assemblée). Et.
. question clé de la crise de la politique représentative, qu'il retire aux républicanistes (primaires partisanes, expostulations quant à la participation électorale, croyance dans le jeu 'démocratique' du moins pire pour les présidentielles) comme aux radicalités marxistes espérant l'aboutissement conclusif du délitement.
. question de Nuit debout et des mouvements des places, printemps 2016 partout en France (le désir de communauté n'est pas la même chose que, 1850, la désaliénation dans 'la sociale', toute trouvée dans le travail et son horizontalité).
. question des populismes, plus en-dessous, pris par dedans plutôt que d'accepter le jeu de langage donné, en effet, par 'l'état des choses'. Pris, plutôt, par la question du vrai peuple, quelle que soit la position politique où elle est construite : le peuple étant après, car produit, et non avant le faire politique, ni le peuple décidant de ses représentants, ni le peuple réel de la lutte des classes préexistant aux ou postrévélé par un retournement alternatif ou par la ruine finale du capitalisme.
Pour une pragmatique, au moins, du peuple, il faut au moins un pas de côté hors du vrai et faux (les apparences, l'illusion, la fausse conscience donc). Cf étude sur Taguieff et le pseudo.
Rancière a la sienne.
Elle permet des prises critiques. Je prête l'oreille à celles qui désarticulent, examinent, les radicalités actuellement à l'offre. Comité invisible, mouvements des places, espoirs de la fin du capitalisme par la vrille dernière du postindustriel cognitaire, le biopolitique, Virno et Agamben, sans doute aussi les débats sur l'absence de demands (et la forme-assemblée). Et.
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