Curieusement, alors que la guerre motive les entreprises scientifiques culturalistes (allemandes, clés dans l'histoire européenne du 19eme), la guerre effacée par les constructions théoriques ou disciplinaires des différences culturelles.
Irénisme des anthropologies, neutralité (et jusqu'aux débats sur le relativisme, Gellner etc.), l'histoire de l'humanité et des civilisations comme grandes masses, posée et pratiquée sur un plan conceptuel à grande distance, où les jeux violents du terrain peuvent être regardés comme des affairements de fourmi, des effets nécessaires des conditions humaines, des épisodes qu'on manipule pour les placer correctement dans une compréhension de l'histoire de l'humanité (pas de contradiction à l'idée, alors, de culturalité de la guerre, ma propre proposition), l'enlevement des Sabines raconté dans les musées, indifféremment.
Travailler à l'articulation du dèmos dans les pensées de la différence culturelle passe par cette question carrefour. A commencer par les guerres coloniales (Zulus etc., autant que Boers etc.), type possible à appuyer aux lecture critiques.
Ce que Taine efface de la guerre en posant la différenciation de 'chaque civilisation distincte' (Histoire de la littérature anglaise, 22 et 23), mettant la guerre (terme absent en tant que tel, on a : émigré, conquis, vaincus et exploités, obligation de vivre en bande campée, et finalement 'produite par quelque circonstance appliquée sur la race' - au moins !) en circonstance historique. Pensant la distinction des races hors rapport entre les races, le distinctif par cause primitive, ressort primitif, caractère, l'histoire dans une dimension horizontale plate. Dimension hégélienne (qualité de cette référence ?) du développement, histoire de l'esprit humain, qui peut se verticaliser par une hiérarchisation des capacités et succès de développement (races qui peuvent passer de la représentation à l'idée à l'action), mais pas par une histoire du rapport des peuples, ni par la guerre (Saussure : 'communautés de défense') ni par l'histoire commune et jouxtée (Saussure : le continu des dialectes, avec quelles conséquences pour le continu des peuples dans toutes les dimensions).
Irénisme des anthropologies, neutralité (et jusqu'aux débats sur le relativisme, Gellner etc.), l'histoire de l'humanité et des civilisations comme grandes masses, posée et pratiquée sur un plan conceptuel à grande distance, où les jeux violents du terrain peuvent être regardés comme des affairements de fourmi, des effets nécessaires des conditions humaines, des épisodes qu'on manipule pour les placer correctement dans une compréhension de l'histoire de l'humanité (pas de contradiction à l'idée, alors, de culturalité de la guerre, ma propre proposition), l'enlevement des Sabines raconté dans les musées, indifféremment.
Travailler à l'articulation du dèmos dans les pensées de la différence culturelle passe par cette question carrefour. A commencer par les guerres coloniales (Zulus etc., autant que Boers etc.), type possible à appuyer aux lecture critiques.
Ce que Taine efface de la guerre en posant la différenciation de 'chaque civilisation distincte' (Histoire de la littérature anglaise, 22 et 23), mettant la guerre (terme absent en tant que tel, on a : émigré, conquis, vaincus et exploités, obligation de vivre en bande campée, et finalement 'produite par quelque circonstance appliquée sur la race' - au moins !) en circonstance historique. Pensant la distinction des races hors rapport entre les races, le distinctif par cause primitive, ressort primitif, caractère, l'histoire dans une dimension horizontale plate. Dimension hégélienne (qualité de cette référence ?) du développement, histoire de l'esprit humain, qui peut se verticaliser par une hiérarchisation des capacités et succès de développement (races qui peuvent passer de la représentation à l'idée à l'action), mais pas par une histoire du rapport des peuples, ni par la guerre (Saussure : 'communautés de défense') ni par l'histoire commune et jouxtée (Saussure : le continu des dialectes, avec quelles conséquences pour le continu des peuples dans toutes les dimensions).
'La guerre, vous dis-je, la guerre'.
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