Les Germains sont le type de la question de l'ethnos dans la fin du 19eme en France et Angleterre et Allemagne (encore une complexité supplémentaire évidemment là).
Saussure légendologue les prend bien par intérêt pour Genève et ses étymologies et philologies, mais il les prend bien aussi pour entrer dans le plan de dialogue sur peuple-langue, idéologiquement structurant son époque. De même que le Cours3 explique la part des langues IE dans le 'tableau' du 'globe', par valeur epistémique (linguisticiste) indiscutable - romanistique en particulier.
Taine prend la littérature anglaise - et compare régulièrement, de même qu'il souligne les francités de la période littéraire normande avec insistance - pour l'exploration de l'altérité germanique.
Il le fait par le point de vue de la littérature - (Saussure : 'le point du vue du poète burgonde', 365). Qui permet ou véhicule et met en place, scelle, un ethnisme spécifié (pas exactement national, ou nationaliste - on est aussi dans un autre noeud de débat 'de civilisation'), à recomposer et sortir en continuant à le lire.
Ce que fait une légendologie des Germains, différenciée autant d'une histoire littéraire des Saxons et des Francs, que d'une 'critique historique' de l'histoire de l'Europe.
Pendant que Arnold et al. sur les Celtes et les Saxons. Quelle contemporainéité entre Arnold et Renan ?
C'est en tout cas distinctement contre la thèse d'anhistoricité des langues sémitiques et contre Renan que Saussure développe dans le Cours3, la variation, la diachronie, critique de la linguistique historique.
Saussure légendologue les prend bien par intérêt pour Genève et ses étymologies et philologies, mais il les prend bien aussi pour entrer dans le plan de dialogue sur peuple-langue, idéologiquement structurant son époque. De même que le Cours3 explique la part des langues IE dans le 'tableau' du 'globe', par valeur epistémique (linguisticiste) indiscutable - romanistique en particulier.
Taine prend la littérature anglaise - et compare régulièrement, de même qu'il souligne les francités de la période littéraire normande avec insistance - pour l'exploration de l'altérité germanique.
Il le fait par le point de vue de la littérature - (Saussure : 'le point du vue du poète burgonde', 365). Qui permet ou véhicule et met en place, scelle, un ethnisme spécifié (pas exactement national, ou nationaliste - on est aussi dans un autre noeud de débat 'de civilisation'), à recomposer et sortir en continuant à le lire.
Ce que fait une légendologie des Germains, différenciée autant d'une histoire littéraire des Saxons et des Francs, que d'une 'critique historique' de l'histoire de l'Europe.
Pendant que Arnold et al. sur les Celtes et les Saxons. Quelle contemporainéité entre Arnold et Renan ?
C'est en tout cas distinctement contre la thèse d'anhistoricité des langues sémitiques et contre Renan que Saussure développe dans le Cours3, la variation, la diachronie, critique de la linguistique historique.
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