lundi 1 février 2010

George Eliot, et gendering du savoir

Que Maria Evans ait été éduquée dans une boarding school, depuis l'âge de 5 ans, et pour filles, l'a mise sur la circulation de discursivités qui n'étaient pas celles des Classics de garçons, soit gentleman's soit scholarly/clergy. Un contact avec une modernité, la philosophie et les débuts des sciences sociales allemandes au premier chef -- qu'elle traduit dès qu'elle commence son travail adulte.

La littérature, English, également enseignée aux working classes et aux femmes, de même que les Modern Languages, comme éducation de seconde zone, pour les populations ancillaires.
Woolf également : toute l'histoire des lettres anglaises, disponibles at home pour "Hours in a Library", quand les frères et cousins partaient à Cambridge. Chez Woolf la modernité se développe en une poétique et vient s'adjoindre au Modernism, lui-même inséparable de la question de l'écriture des femmes.

Fonction des Classics, ces Lettres-là : adouber, donner le code aux, jeunes gents. Culture "humaniste", one's Humanities, et moyen de la reproduction sociale. Des références communes. De quel ordre le savoir, là, en dehors des effets de socialisation? Une culture (qui n'est pas une Bildung). Des modèles.
There's more.
Mais c'est là que je suis un peu arrêtée par l'irritation politique de ça ; j'y accroche.

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