mardi 2 février 2010

Le public du marché : libéralisme, capitalisme

Difficulté in getting my head round this. Que le public ait aussi sa dimension, majoritaire en effectivité politique, dans le fonctionnement du privé, son commerce, ses échanges ; la "sphère publique" (Habermas) et société civile et espace de l'opinion publique, comme sphère autonomisée, constituée, au temps de la formation de la bourgeoisie capitaliste, des échanges marchands et du travail (Habermas parle de "travail social" - not sure what that points to).

Capitalisme et formes politiques modernes, for certain. Mais cette radicalité du rapport entre public et commerce ; et entre libéralisme et démocratie. Qui prend un virage au moment où se défait la relation féodale du common (synonyme de private - there's a difficulty also) au particular (privilèges).

Puis : le rapport au littéraire pour la formation de la sphère publique bourgeoise, et à l'inculte, à l'illettré, de la sphère plébéienne. Dur à avaler, à traiter, ça. Particulièrement après l'euphorie historique, de la vertu populaire, de EP Thompson. Entre critique et radical : une différentiation sociologique qui fait le partage (Rancière, Foucault sur l'exclusion) entre une nouvelle fonction sociale, civile, des lettres, et le travail discursif de mouvements sociaux "sans" capital culturel. C'est le "sans", et l'idée d'une force politique sans poétique, qui bute.

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