lundi 1 février 2010

L'université language game

Pratique de vacances, soit de l'aiguillage du temps entre université et recherche :
l'opération d'une sortie du language game auquel on se prend à adhérer, en temps de croisière, ou rythme semestriel. Le temps de reprendre ce décrochage, épistémologique, critique, de l'esprit de sérieux universitaire ; de sa dimension politique déclarée, emphatiquement, depuis. Quand tant est que.
Le geste est autre chose qu'un cynisme, périodique, et plutôt le ras du travail même : savoir où passer le vivisectif analytique ; le plan conceptuel politique. Temps d'affinage, taille, de l' analyse des enjeux ; du plan des jeux. Temps, par exemple, où une sociologie est bonne à réengager ; la paix intellectuelle, le répit, d'une sociologie des tensions, conflits et luttes ; le rappel, le repasser par le corps, des façons de savoir et de vivre dans les professions du savoir ici maintenant. Les enjeux larges, où les malentendus de la pratique professionnelle quotidienne, soit étrécissement de l'imagination politique, se montrent pour le comique auxquel ils aboutissent cumulativement.

Bourdieu sur le champs de la production culturelle ; Habermas sur l'histoire de l'espace public. ARESER, et sociologie de la discipline Anglais (MP Pouly).

Ce que fait un universitaire.

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