Un piège, qui se reforme toujours facilement. De l'ambiance culturaliste de la perspective postcoloniale. Qui fait que je peux m'étonner une minute de me retrouver plaisamment choquée du rappel à la critique à lire le programme du séminaire "Colonial Legacies, Postcolonial Contestations, Decolonizing the social sciences and the humanities", prévu au Frankfurt Research Center for Postcolonial Studies (Nikita Dhawan dir.) en juin 2011 : par les perspectives disciplinaires rassemblées, rafraîchies de la littérature-histoire-anthropologie.
La prise CERI dans La Situation postcoloniale (Smouts), d'accord. Mais ici encore : l'économie, le droit (droits de l'homme, justice et justice internationale, révolution, statehood & governmentality, corruption ; weak states, failed states, developmental states), relations internationales ici aussi (international aid, global governance), mouvements sociaux, feminisme d'accord, queer, academia (et non seulement épistémologie, mais ceci aussi connu et digéré ; + intellectual history), secularism, rapport à "Auschwitz", à PostSoviet, urban spaces.
GROS LANCE-FLAMME ET MINUSCULE MOTION
Il y a 10 mois
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