Impatience, de savoir ce que c'est que je fais - toujours du plus synthétique à en comprendre -, et irritation à la sensation de treading air, de passer une immense matière sous analyse et de rester en état de simple philologie : c'est là le désir, là la libido sciendi.
Être en étude, peut-être simplement.
I want to know know know understand compose.
Et finalement la question de la publication, aussi difficile, pour des raisons qui ne sont pas seulement éditoriales, et pas seulement affaire de timidité à l'autorité. Grosse affaire du placement.
Mais : prendre la pression que crée le besoin de sortir les formes de comprendre, et en laisser tranquillement la réalisation très libre selon son déroulement, le regarder faire : ce qu'il y a clarifier, à former. Hors toute conversation et hors le jeu des pignons sur rue. Par exemple dans l'intime, l'infra-public, des questions de la pratique critique. Toujours, ce qu'on fait, comment. Comment on vit le gros courant d'une discipline, et comment le travail ruisselle hors de ses récits. Etc.
Écouter le besoin de comprendre et de tirer au clair, comme le désir des objets qui poussent et se présentent. Et penser comment en faire quelque chose, comment le former. Comment l'adresser, à tel débat.
Et être tranquille que c'est là l'espace du travail- sans effort de correspondre aux scénarios disciplinaires et universitaires. ?
Ou bien est-ce une erreur, et la science dans l'espace scientifique et dans son jeu ? Un travail stratégique intense est exigé dans ce cas : pour recomposer délibérément un monde scientifique qui ne se donne pas comme tel directement. Et la boucle critique recommence.
Être en étude, peut-être simplement.
I want to know know know understand compose.
Et finalement la question de la publication, aussi difficile, pour des raisons qui ne sont pas seulement éditoriales, et pas seulement affaire de timidité à l'autorité. Grosse affaire du placement.
Mais : prendre la pression que crée le besoin de sortir les formes de comprendre, et en laisser tranquillement la réalisation très libre selon son déroulement, le regarder faire : ce qu'il y a clarifier, à former. Hors toute conversation et hors le jeu des pignons sur rue. Par exemple dans l'intime, l'infra-public, des questions de la pratique critique. Toujours, ce qu'on fait, comment. Comment on vit le gros courant d'une discipline, et comment le travail ruisselle hors de ses récits. Etc.
Écouter le besoin de comprendre et de tirer au clair, comme le désir des objets qui poussent et se présentent. Et penser comment en faire quelque chose, comment le former. Comment l'adresser, à tel débat.
Et être tranquille que c'est là l'espace du travail- sans effort de correspondre aux scénarios disciplinaires et universitaires. ?
Ou bien est-ce une erreur, et la science dans l'espace scientifique et dans son jeu ? Un travail stratégique intense est exigé dans ce cas : pour recomposer délibérément un monde scientifique qui ne se donne pas comme tel directement. Et la boucle critique recommence.