Dans les temps de préparation de la Trico on parle explicitement de révolution mondiale, et surtout d'impérialisme américain. Le mondial avant tout stratégique, géopolitique, dynamiques de Carl Schmitt. On fait fonctionner les formes d'alliance que sont 'l'amitié' entre tel et tel peuple, les conférences internationales, les Bureaux etc.
Parle-t-on moins du projet mondial communiste ? Universaliste, prolétaires 'de tous les pays', s'unissant ? ou bien cet universalisme était déjà de nature alliance : dynamiques de fronts plutôt que projection d'une humanité unifiée ? Il faut que je replonge dans la critique de l'Etat-nation chez Marx et la suite, Balibar Wallerstein, reprendre le fil.
Les nouvelles données des gauches, intriquées avec la Décolonisation (et l'impérialisme comme stade du capitalisme, de 1916 et encore avancé, retransformé, en 1955, 1966) : les nouvelles gauches et les gauchismes, - maoïsme, castrisme, orthodoxie communiste et 'staliniens', option italienne, non-alignement, etc.
Ajoutant le paramètre de la libération nationale - les MLN toujours articulés, dans des configurations diverses et conflictuelles et mouvantes (scissions) et violente souvent, avec les PCs.
Comme Mao avait déjà ajouté le paramètre de la paysannerie, en bloc avec la forme guérilla.
Le 'monde' communiste, critiqué par les formes que prennent les communismes après la Russie (et l'échec de l'Allemagne) : critique du prolétariat ? reprise de la question du peuple.
De même de l'idée de 'bloc' dans la guerre froide, à critiquer comme construction de guerre (dénomination amalgamée en 'communist' au plus fort du maccarthysme / dénomination, mot d'ordre, stratégique à marée haute de la Trico) : hyper-articulé en variétés et conséquemment en hostilités et dissensions, compétition et guerres d'alliances, de versions communistes produites par ses situations locales : qui doivent projeter des dimensions corrélatives à leur horizon de lutte - le continental, l'afro-asiatique,
Parle-t-on moins du projet mondial communiste ? Universaliste, prolétaires 'de tous les pays', s'unissant ? ou bien cet universalisme était déjà de nature alliance : dynamiques de fronts plutôt que projection d'une humanité unifiée ? Il faut que je replonge dans la critique de l'Etat-nation chez Marx et la suite, Balibar Wallerstein, reprendre le fil.
Les nouvelles données des gauches, intriquées avec la Décolonisation (et l'impérialisme comme stade du capitalisme, de 1916 et encore avancé, retransformé, en 1955, 1966) : les nouvelles gauches et les gauchismes, - maoïsme, castrisme, orthodoxie communiste et 'staliniens', option italienne, non-alignement, etc.
Ajoutant le paramètre de la libération nationale - les MLN toujours articulés, dans des configurations diverses et conflictuelles et mouvantes (scissions) et violente souvent, avec les PCs.
Comme Mao avait déjà ajouté le paramètre de la paysannerie, en bloc avec la forme guérilla.
Le 'monde' communiste, critiqué par les formes que prennent les communismes après la Russie (et l'échec de l'Allemagne) : critique du prolétariat ? reprise de la question du peuple.
De même de l'idée de 'bloc' dans la guerre froide, à critiquer comme construction de guerre (dénomination amalgamée en 'communist' au plus fort du maccarthysme / dénomination, mot d'ordre, stratégique à marée haute de la Trico) : hyper-articulé en variétés et conséquemment en hostilités et dissensions, compétition et guerres d'alliances, de versions communistes produites par ses situations locales : qui doivent projeter des dimensions corrélatives à leur horizon de lutte - le continental, l'afro-asiatique,