mardi 1 juillet 2014

Cosmopolitisme, contd.

Notes de conclusion de M. Agier :

Évoquer les propositions philosophiques (kantiennes) contemporaines pour le cosmopolitisme, et les sociologiques (U. Beck, en critique du 'nationalisme méthodologique' et pour la 'globalisation' de l'approche et des consciences),
placer devant elles les anthropologiques : par les concepts du livre, l'homme-frontière et le sujet-autre. (Humanisme, contemporain et postculturaliste, comme telles. Au-delà du relativisme culturel. - ces soucis).

Propositions phisosophiques : présentées comme : 'Dans ce cadre, l'horizon cosmopolite n'équivaut ni à la 'gouvernance mondiale', ni à la 'communauté internationale', ni à la 'mondialisation' économique et financière' '.
Et indexées à la seule référence, ici, à Appiah : cosmopolitisme comme distinction de 'mondialisation', de 'multiculturalisme', et comme 'littéralement de 'cité-monde'. Contexte social commun. Monde commun.
Concluant : ne s'agit plus seulement de desoccidentaliser l'universalisme, mais de 'réussir à le repenser dans un monde commun où doit se réinventer le programme de l'égalité'.

Ajoutant : 'sur la première page à écrire d'un récit cosmopolite'. La péroraison importe et marque. Vers la catégorie, le souci, de 'l'esthétique', qui arrive en fin de démonstration (prise de parole, émergence du sujet : écho Rancière?), comme limite de la poétique. Bon. Qu'elle soit peut-être aussi la limite inhérente au concept de 'cosmopolite' : peut-être. Voir.