vendredi 6 mars 2015

Geostratégie culturaliste : dépassée

Conclusion de Roy, point de stabilisation de son propos :
. les acteurs ont bien cette 'perception (du Clash, identitaire, faisant du conflit israélo-palestinien une métaphore pour, Jérusalem comme Sarcelles), surdéterminée par l'instantanéité et l'ubiquité de l'information', et qui 'contribue justement à structurer ces conflits' : les prendre comme tels.
. mais aussi : les visions culturalistes et essentialistes sont caduques [mais actives, 'paradoxe' sans doute], même si maniées incantatoirement. Car : 'Il n'y a pas de géostratégie de l'islam, il n'y a plus de terre d'islam ni communauté musulmane, mais une religion qui apprend à se desincarner et des populations musulmanes qui négocient leurs nouvelles identités, y compris dans le conflit.
La géostratégie culturaliste maintenant sans valeur. Même si évoquée invoquée brouhaha passepartout.
Dernière phrase : 'Mais si le droit à l'erreur est reconnu depuis longtemps, il ne faut pas oublier qu'il n'y a pas de démocratie sans droit à la bêtise.'
Il faudra donc faire avec, y faire place, lui donner la place dans l'analyse. Comme ?

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