Souvent je perds le fil de mes propres visées, dans le brouhaha, 'on the flat, in the crowd, half blind with dust', de la lutte discursive, et l'effort comique pour pousser une certaine discursivité, sans aucun doute a rebrousse-poil et irritante par sa préciosité (demander une écoute), dans les carrefours multidiscours de l'ordinaire par exemple universitaire. De tels pans à resituer.
La première attache qui est attendue et que j'ai rompue, est au point de la littérature. Et à l'extension nécessaire du poème au plus large de l'histoire, vastly wider afield than sa forme historique de la littérature. Commencer donc par poser l'historicité de la catégorie 'littérature'. Ensuite, tenant soigneusement à cette rampe : le poème comme travail inventif dans les modes de signifier, soit dans les contrats symboliques des sociétés.
La littérature donc, quant à elle, pour son travail de cette nature - et alors, si on veut prendre le temps de dérouler les réalisations historiques de ces traditions, y aller, avec l'histoire des textes et de leurs effets matériels de sens dans leurs sociétés.
Mais plus au large qu'elle seule et l'englobant : les discursivités historiques, qui forment les sociétés et performent les peuples, dans le grain du présent de l'énonciation, où le langage fait l'histoire.
Une poétique de, qui est autre chose qu'une étude de l'objet littérature, travaille en analysant, en retrouvant, en formant ou dégageant, les articulations discursives qui font les objets qu'elle peut appréhender. Tracer les histoires discursives (le mot que j'ai sous la langue en ce moment semble rester 'généalogies', même si je crains les associations incohérentes - mais elles ne se tirent pas encore au clair d'elles-mêmes), identifier les sujets - les subjectivations donc, sujets justement en devenir, 'fluides' mais de texture exacte de l'histoire - des énonciations qui soutiennent tel objet. Et des effets de peuple générés : public, peuples critiques, contre-peuples, peuples réactionnaires ou conservateurs, ...
Historiciser les objets, en les considérant dans leur effets de sujet et de trans-sujet.
Va avec le positionnement singulier des catégories singulières, alors - elles se singularisent par la perspective qui se trace quand on se met à - de 'pensée', 'savoir', 'concept', 'critique'. Et par conséquence immédiate, philologie - poétique - et philosophie.
Enfin, le nœud contrarié de l'état intellectuel pré-actuel : la théorie. Qu'on peut prendre tranquillement dans une analyse généalogique, où on distinguera ses alliances conjoncturelles avec la théorie critique marxiste et al., le structuralisme, la 'circulation' en anglophonie, par l'aiguillage complexe du passages entre régimes des disciplines universitaires structurés différemment.
La première attache qui est attendue et que j'ai rompue, est au point de la littérature. Et à l'extension nécessaire du poème au plus large de l'histoire, vastly wider afield than sa forme historique de la littérature. Commencer donc par poser l'historicité de la catégorie 'littérature'. Ensuite, tenant soigneusement à cette rampe : le poème comme travail inventif dans les modes de signifier, soit dans les contrats symboliques des sociétés.
La littérature donc, quant à elle, pour son travail de cette nature - et alors, si on veut prendre le temps de dérouler les réalisations historiques de ces traditions, y aller, avec l'histoire des textes et de leurs effets matériels de sens dans leurs sociétés.
Mais plus au large qu'elle seule et l'englobant : les discursivités historiques, qui forment les sociétés et performent les peuples, dans le grain du présent de l'énonciation, où le langage fait l'histoire.
Une poétique de, qui est autre chose qu'une étude de l'objet littérature, travaille en analysant, en retrouvant, en formant ou dégageant, les articulations discursives qui font les objets qu'elle peut appréhender. Tracer les histoires discursives (le mot que j'ai sous la langue en ce moment semble rester 'généalogies', même si je crains les associations incohérentes - mais elles ne se tirent pas encore au clair d'elles-mêmes), identifier les sujets - les subjectivations donc, sujets justement en devenir, 'fluides' mais de texture exacte de l'histoire - des énonciations qui soutiennent tel objet. Et des effets de peuple générés : public, peuples critiques, contre-peuples, peuples réactionnaires ou conservateurs, ...
Historiciser les objets, en les considérant dans leur effets de sujet et de trans-sujet.
Va avec le positionnement singulier des catégories singulières, alors - elles se singularisent par la perspective qui se trace quand on se met à - de 'pensée', 'savoir', 'concept', 'critique'. Et par conséquence immédiate, philologie - poétique - et philosophie.
Enfin, le nœud contrarié de l'état intellectuel pré-actuel : la théorie. Qu'on peut prendre tranquillement dans une analyse généalogique, où on distinguera ses alliances conjoncturelles avec la théorie critique marxiste et al., le structuralisme, la 'circulation' en anglophonie, par l'aiguillage complexe du passages entre régimes des disciplines universitaires structurés différemment.
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