Oui, le travail toujours faisable et toujours à faire, sur les bascules critiques : X., sociologue du droit, invité à la Suite dans les idées cette semaine, (et tout un champ de référence que je découvre comme structuré, noms situés mutuellement par la conversation, une génération de travail à partir de Bourdieu, Foucault Aron Gurvitch et al.), pose une critique de la domination comme trope analytique de la sociologie de Bourdieu ou de l'achéologie de Foucault (encore une pratique, une forme pratiquée, de la critique de la domination) par l'empowerment (mot introduit par S Bourmeau, venu de quel plateau de discours exactement, anglophone ? Côté Butler, peut-être Wendy Brown etc?).
Balibar ne cesse d'explorer, dans Nous, citoyens en tout cas (soit 2001), son trope de l'ambivalence - qui est à lire en stéréo avec le travail de Bhabha et toute la conversation dans laquelle Bhabha travaille son concept d'ambivalence coloniale. Ambivalence du pouvoir (comme processus du différentiel) généralement, et ici de sa forme frontière : mode de l'exclusion hiérarchisante et productrice de domination, tout autant que mode et ressource de l'émancipation, vocation trans-frontière de l'universel, travail de la minorité comme articulatoire, par généralisation (65).
L'ambivalence est délicate : elle s'explore aussi dans Rosanvallon, le peuple introuvable, démocratie française entre liberté et égalité (et alors que faire de la fraternité ? Je ne sais plus comment il le place et je doute qu'il ne le traite pas). Elle est aussi philosophée en régime fétichiste, Derrida, et sans doute pas mal des contributions autour de la communauté plus ou moins 'impossible' : désœuvrée etc. A voir. Y voir aussi Agamben, Bataille en fin d'oeuvre il me semble, Nancy.
Ces potentiels 'culturels', populaires, démotiques en potentiel de démocratiques (souveraineté du peuple), sont ceux parmi lesquels je tâtonne avec mes peuples d'Ambedkar de Du Bois et autres logothètes de l'égalité etc. Egaliberté ? A voir, cette construction.
Balibar ne cesse d'explorer, dans Nous, citoyens en tout cas (soit 2001), son trope de l'ambivalence - qui est à lire en stéréo avec le travail de Bhabha et toute la conversation dans laquelle Bhabha travaille son concept d'ambivalence coloniale. Ambivalence du pouvoir (comme processus du différentiel) généralement, et ici de sa forme frontière : mode de l'exclusion hiérarchisante et productrice de domination, tout autant que mode et ressource de l'émancipation, vocation trans-frontière de l'universel, travail de la minorité comme articulatoire, par généralisation (65).
L'ambivalence est délicate : elle s'explore aussi dans Rosanvallon, le peuple introuvable, démocratie française entre liberté et égalité (et alors que faire de la fraternité ? Je ne sais plus comment il le place et je doute qu'il ne le traite pas). Elle est aussi philosophée en régime fétichiste, Derrida, et sans doute pas mal des contributions autour de la communauté plus ou moins 'impossible' : désœuvrée etc. A voir. Y voir aussi Agamben, Bataille en fin d'oeuvre il me semble, Nancy.
Ces potentiels 'culturels', populaires, démotiques en potentiel de démocratiques (souveraineté du peuple), sont ceux parmi lesquels je tâtonne avec mes peuples d'Ambedkar de Du Bois et autres logothètes de l'égalité etc. Egaliberté ? A voir, cette construction.
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