Conversation avec C.B., 'iconoclaste' quant aux études littéraires anglaises -
oui, la littérature, objet moderne.
Pour prolonger le rapport à ce que la littérature draine comme problèmes de sciences humaines dans les études littéraires ou la théorie depuis ...., le pas à franchir est, en temps déjà au-delà du 'postmoderne' et autrement culturellement configuré, indentifier les objets, formes culturelles (qui en effet ne seront pas nécessairement langagières seulement), qui en sont le devenir organique dans là global-capitalist culture.
Former les objets, les dégager des pratiques sociales, qui sont les 'littératures' du temps, par le même 'appalling effort' que celui du CCCS en son propre temps inventif. La différence qui saute aux yeux est dans les conditions sociales d'un tel effort : et l'état des ressources critiques, en sujet collectif et état des rapports de force dans la culture.
Le nerf pour le CCCS et l'élaboration des Cultural studies est dans l'élan travailliste, mais aussi c'est vrai cassé par l'arrivée de Thatcher, et l'acuité de la guerre de classe de ces décennies. État critique pas si différent alors. Voir. Prendre modèle, chercher les attitudes analogiques imaginables.
1. les 'littératures' seront à la fois reproduites et étendues toujours, marché mondial de, domination de la forme roman, nouveaux entrants de, croissance de l'alphabétisme et de la classe moyenne lectrice etc.
2. et : dépassées, par mutation des points où le présent social global glocal se noue à des formes culturelles. Musique, image dont on nous a beaucoup parlé, hypertexte et sa culture hypermobile et avalancheuse. Réseaux sociaux etc. Il faut encore - même si ce travail est conduit, avec des pans de réalisations déjà substantiels - indentifier ces mutations, ces ruptures.
Chercher les 'littératures' (ie forme organique) de la mondialisation (et commencer par se méfier du réflexe d'aller les chercher du côté des littératures-de, littératures postcoloniale diasporiques migrantes et tutti quanti : elles seront plutôt de l'autre côté du segment : plutôt de-la-mondialisation), et chercher ces mutations de forme dans leur double valeur prévisible encore :
- ses formes hégémoniques - les médias s'attachent activement à les saisir, études de communication, visual studies, objets séries tv, film, réseaux sociaux, écriture texto, état de l'école, etc.
- ses poèmes. Beaucoup plus fine attention nécessaire, et une connaissance des terrains culturels mobiles que certainement je n'ai pas et que le travail universitaire sera peu capable de suivre. Ils émergent nécessairement à la fois de l'invention de nouvelles chimères (poésie digitale étudiée à P8 par ex) et de poussées du dèmos (poèmes dalits mais à voir. Poèmes des inventions politiques, Chiapas Marco, places des révolutions arabes, etc, prises de parole peuples indigènes, cette ligne à poursuivre.
oui, la littérature, objet moderne.
Pour prolonger le rapport à ce que la littérature draine comme problèmes de sciences humaines dans les études littéraires ou la théorie depuis ...., le pas à franchir est, en temps déjà au-delà du 'postmoderne' et autrement culturellement configuré, indentifier les objets, formes culturelles (qui en effet ne seront pas nécessairement langagières seulement), qui en sont le devenir organique dans là global-capitalist culture.
Former les objets, les dégager des pratiques sociales, qui sont les 'littératures' du temps, par le même 'appalling effort' que celui du CCCS en son propre temps inventif. La différence qui saute aux yeux est dans les conditions sociales d'un tel effort : et l'état des ressources critiques, en sujet collectif et état des rapports de force dans la culture.
Le nerf pour le CCCS et l'élaboration des Cultural studies est dans l'élan travailliste, mais aussi c'est vrai cassé par l'arrivée de Thatcher, et l'acuité de la guerre de classe de ces décennies. État critique pas si différent alors. Voir. Prendre modèle, chercher les attitudes analogiques imaginables.
1. les 'littératures' seront à la fois reproduites et étendues toujours, marché mondial de, domination de la forme roman, nouveaux entrants de, croissance de l'alphabétisme et de la classe moyenne lectrice etc.
2. et : dépassées, par mutation des points où le présent social global glocal se noue à des formes culturelles. Musique, image dont on nous a beaucoup parlé, hypertexte et sa culture hypermobile et avalancheuse. Réseaux sociaux etc. Il faut encore - même si ce travail est conduit, avec des pans de réalisations déjà substantiels - indentifier ces mutations, ces ruptures.
Chercher les 'littératures' (ie forme organique) de la mondialisation (et commencer par se méfier du réflexe d'aller les chercher du côté des littératures-de, littératures postcoloniale diasporiques migrantes et tutti quanti : elles seront plutôt de l'autre côté du segment : plutôt de-la-mondialisation), et chercher ces mutations de forme dans leur double valeur prévisible encore :
- ses formes hégémoniques - les médias s'attachent activement à les saisir, études de communication, visual studies, objets séries tv, film, réseaux sociaux, écriture texto, état de l'école, etc.
- ses poèmes. Beaucoup plus fine attention nécessaire, et une connaissance des terrains culturels mobiles que certainement je n'ai pas et que le travail universitaire sera peu capable de suivre. Ils émergent nécessairement à la fois de l'invention de nouvelles chimères (poésie digitale étudiée à P8 par ex) et de poussées du dèmos (poèmes dalits mais à voir. Poèmes des inventions politiques, Chiapas Marco, places des révolutions arabes, etc, prises de parole peuples indigènes, cette ligne à poursuivre.
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