La difficulté, vécue comme un coup au corps (symptômes : anxiété et légère médication, stress inscrit dans musculature, dispersion de la concentration, retour en boucle du thème occupant la pensée sans déboucher), se situe autour de la question double et réitérée frontalement : encore repenser le rapport à l'institution universitaire (entrer dans le jeu et travailler, effort considérable de bilinguisme, à inscrire des traverses critiques ; ou bien préférer l'option d'une tangence statutaire, proche de l'exit et exercice de l'indépendance, coûteuse en appauvrissement des ressources ; et trouver le passage possible vers, de, une prise critique sur l'injonction et ses termes - effort simplement critique ici.
Effort critique, possible, et pour une part acquis. Il a fallu une nuit et un matin d'étau dans l'indignation pour percer et déboucher. Trouvé une façon de passer, à travers le problème posé. Même si je ne suis pas du tout sûre de l'intelligence de ce qui en sort : au moins j'y suis, j'y reconnais, il y a du sens.
Effort institutionnel : l'indécision est beaucoup plus pesante. Elle est lourde à la fois de l'hypothèque du collectif (avec quels collègues et quels étudiants donner corps à ce quelque chose : les conditions de précarisation pour les prochaines générations en recherche, et les blocages de l'interdisciplinarité et d'internationalité étant réappuyés plutôt que et malgré affichage d'invitation), et de tout ce qui est en jeu dans l'idéalisme de ma réflexion toujours : tout ce que j'ignore dans le jeu stratégique et qui me forme a une prudence peut-être handicapante.
Est toujours en cause la qualité, l'intelligence, d'une situation toujours à analyser à neuf, du rapport d'idéalisme et de critique. Ne pas le prendre comme invalidé d'avance, ni bien sûr comme jamais acquis comme principe. Paradoxes éventuellement étonnants de l'intempestif, par exemple.
Chaque fois, rethéoriser une pensée du rapport entre travail critique et conditions stratégiques de la critique.
Écrasant et ordinaire, quotidien, déjà ce qui est en cours, à la fois. Possible à prendre par ici et maintenant.
Un repère continue à valoir, il me semble : savoir avec qui on veut travailler.
Effort critique, possible, et pour une part acquis. Il a fallu une nuit et un matin d'étau dans l'indignation pour percer et déboucher. Trouvé une façon de passer, à travers le problème posé. Même si je ne suis pas du tout sûre de l'intelligence de ce qui en sort : au moins j'y suis, j'y reconnais, il y a du sens.
Effort institutionnel : l'indécision est beaucoup plus pesante. Elle est lourde à la fois de l'hypothèque du collectif (avec quels collègues et quels étudiants donner corps à ce quelque chose : les conditions de précarisation pour les prochaines générations en recherche, et les blocages de l'interdisciplinarité et d'internationalité étant réappuyés plutôt que et malgré affichage d'invitation), et de tout ce qui est en jeu dans l'idéalisme de ma réflexion toujours : tout ce que j'ignore dans le jeu stratégique et qui me forme a une prudence peut-être handicapante.
Est toujours en cause la qualité, l'intelligence, d'une situation toujours à analyser à neuf, du rapport d'idéalisme et de critique. Ne pas le prendre comme invalidé d'avance, ni bien sûr comme jamais acquis comme principe. Paradoxes éventuellement étonnants de l'intempestif, par exemple.
Chaque fois, rethéoriser une pensée du rapport entre travail critique et conditions stratégiques de la critique.
Écrasant et ordinaire, quotidien, déjà ce qui est en cours, à la fois. Possible à prendre par ici et maintenant.
Un repère continue à valoir, il me semble : savoir avec qui on veut travailler.
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