http://www.monde-diplomatique.fr/2017/03/ANDERSON/57243
Diplo de mars.
. pourquoi les oppositions de droite sont plus successful que celles de gauche, right
. il évite de prendre le terme 'populisme' : le laisse à l'évocation de son emploi, comme stigmate de la part des classes dirigeantes, right, et à l'alarme de la presse, 'danger populiste'
. il regarde les mouvements nés avant, et nés après, la crise de 2008, right
. analyse système-monde des cas UK et US : tous deux par une position impériale particulièrement sensible à inquiéter sous la forme de 'immigration' : UK / Brexit le plus puissant empire européen, et jamais occupé (où la dépossession politique du bas -- encore écrasé par l'inégalisation d'un néolib autrement brutal dans les Iles que sur le continent -- par structuration électorale a poussé à saisir la première chance d'expression, référendum ; expression symbolique, plus que calcul sur l'économique); US / Trump perdant son hyperpuissance absolue dans un multilatéralisme mondialisé possible à prendre comme humiliation du peuple. En distinction des cas d'Europe continentale. Questions d'identité, pouvant primer sur le désespoir économique.
. enfin dernier point bien lancé : le système a déjà produit ses 'anticorps', outre les poussées inattendues de la gauche avec B Sanders et Corbyn : 'l'ordre établi', et "sa capacité à absorber et à neutraliser avec une rapidité impressionnante (vue en Grèce) les révoltes, d'où qu'elles viennent." Les anticorps : jeunes "dynamiques", 'simulacre de contestation contre les impasses et la corruption', Macron et Rivera de Ciudadanos en Espagne.
. enfin note, premier écho de quelque chose qui est déjà bien dans l'air, mais ici saisi : la 'néo-guerre froide' (de Trump en particulier, et dans le mépris de l'OTAN) avec la Russie.
Diplo de mars.
. pourquoi les oppositions de droite sont plus successful que celles de gauche, right
. il évite de prendre le terme 'populisme' : le laisse à l'évocation de son emploi, comme stigmate de la part des classes dirigeantes, right, et à l'alarme de la presse, 'danger populiste'
. il regarde les mouvements nés avant, et nés après, la crise de 2008, right
. analyse système-monde des cas UK et US : tous deux par une position impériale particulièrement sensible à inquiéter sous la forme de 'immigration' : UK / Brexit le plus puissant empire européen, et jamais occupé (où la dépossession politique du bas -- encore écrasé par l'inégalisation d'un néolib autrement brutal dans les Iles que sur le continent -- par structuration électorale a poussé à saisir la première chance d'expression, référendum ; expression symbolique, plus que calcul sur l'économique); US / Trump perdant son hyperpuissance absolue dans un multilatéralisme mondialisé possible à prendre comme humiliation du peuple. En distinction des cas d'Europe continentale. Questions d'identité, pouvant primer sur le désespoir économique.
. enfin dernier point bien lancé : le système a déjà produit ses 'anticorps', outre les poussées inattendues de la gauche avec B Sanders et Corbyn : 'l'ordre établi', et "sa capacité à absorber et à neutraliser avec une rapidité impressionnante (vue en Grèce) les révoltes, d'où qu'elles viennent." Les anticorps : jeunes "dynamiques", 'simulacre de contestation contre les impasses et la corruption', Macron et Rivera de Ciudadanos en Espagne.
. enfin note, premier écho de quelque chose qui est déjà bien dans l'air, mais ici saisi : la 'néo-guerre froide' (de Trump en particulier, et dans le mépris de l'OTAN) avec la Russie.
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