Depuis This Changes Everything je me trouve à penser beaucoup au social change, (tiens, comment la question est-elle travaillée en français, sous quelles formulations ?). J'essaie de revenir aux expériences faites, de les rendre sensibles, les reconsidérer. Depuis un état de certitude acquise d'une immobilité amorphe, générée par la complexité mondiale qui fait un noeud coulant pour la France depuis la fin des gauches. Tout ce qui a changé et été accepté, rentré dans les mœurs, par les générations. Toute les couleuvres avalées, that is, majoritairement. Blocages, desperation, ZAD.
Beaucoup à ré-imaginer ici, et cette mobilisation de la mémoire/histoire (Les Années, A. Ernaux) bonne à entreprendre.
Il n'y a, bien sûr, pas de société mais seulement des mouvements sociaux, et des états de figements. Exactement de même que des langues dans leur variabilité contra la langue. Et ici, les rapports de force entre mouvements.
Beaucoup à ré-imaginer ici, et cette mobilisation de la mémoire/histoire (Les Années, A. Ernaux) bonne à entreprendre.
Il n'y a, bien sûr, pas de société mais seulement des mouvements sociaux, et des états de figements. Exactement de même que des langues dans leur variabilité contra la langue. Et ici, les rapports de force entre mouvements.
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