lundi 3 octobre 2011

Milner et les idiomes du parler politique

Les idiomes qui se sont inventés avec la politicité moderne : on n'y était plus dans l'Antiquité qui avait la tragédie. (ou Homère, ou l'éloquence la rhétorique, ou encore...).
Propositions (essayistes donc) de Milner :

L'idiome marchand : protestantisme, (reprenant la grand cadre wébérien?), Pays Bas puis Angleterre puis Etats-Unis. Qui déploie le politique selon ses modes. On a pu l'appeler révolutions, mais. Ce qu'il ne dit pas, (par mépris, impatience du développement) : parler du libéralisme? D'une perspective politique repérable dans l'idiome post Révolution quand même? C'est ou ce n'est pas une politique, ici?
Important ici maintenant : où la question de la rivalité entre le marchand et le politique est la corde raide où on doit marcher. A repenser, en le repensant, d'urgence.
Cet idiome parle anglais. (Des anglais ; Englishes.)

L'idiome produit par les inventions énonciatives, inventions de parlers politiques, de la Révolution française. Qui a eu l'erreur de se filer en Terreur : ne pas placer la limite, politique, quant à la mise à mort et à la survie.
Le terme même de révolution : invention moderne même. Contra les démocratie, peuple, cité etc., hérités de l'antique.
Cet idiome part du français? Quels déploiement dans les langues?

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