Marché et information : le travail de Stiglitz, la perspective qu'il trace : sur les imperfections du marché, par le paramètre de l'information. Les différentiels d'information. Incluant la question instrumentale, entre autres, de la transparence (et ses débats et ses utilisations pour accumulation de pouvoir - argument FMI for shifting the blame on the East Asian 1997 crisis, etc. cf p. 211-12).
Oui : less information, higher returns, since more risk. Logical system.
C'est autre chose, une autre dimension, de / que la question de rapport entre savoir et économie, ou économie politique du savoir - soit termes contemporains de l'économie de la connaissance.
Stiglitz se situe dans les 3 décennies de théorie économique travaillant sur les market failures.
Question de l'information :
- que le marché soit un système d'information (formation des prix) : doctrine de Hayek.
- que le marché dysfonctionne en tant que système d'information : par l'imperfection, du marché-information.
- que les économistes sachent - mieux que les marchés ou avec eux - la valeur de l'information. L'information produite par les marchés, et celle qui est mal produite par eux.
- que le FMI et autres instances du Consensus de Washington pendant les grandes années 1990s, aient eu l'hubris de croire qu'ils savaient mieux - que les pays, que les économistes aux vues alternatives (simplement hors doctrine du "market fundamentalism", dit Stilglitz), et finalement mieux que les marchés? Prétention arrogance : pointe de la critique de Stiglitz, en tant qu'elles sont des fermetures autoritaires du débat.
Faillites, at the end of the day, de leurs outils de risk management.
=> information et débat. C'est à dire travail de valorisation, d'interprétation, de l'information. Son sens, non sa vérité. (Mais aussi un libéralisme un peu toothless, appui mou contre)
- note, 219 : les marchés et les gouvernements souffrent d'imperfection de l'information. Tous les acteurs. D'où la logique de demander du débat entre économistes et the various stakeholders. Dont question de corporate governance.
Oui : less information, higher returns, since more risk. Logical system.
C'est autre chose, une autre dimension, de / que la question de rapport entre savoir et économie, ou économie politique du savoir - soit termes contemporains de l'économie de la connaissance.
Stiglitz se situe dans les 3 décennies de théorie économique travaillant sur les market failures.
Question de l'information :
- que le marché soit un système d'information (formation des prix) : doctrine de Hayek.
- que le marché dysfonctionne en tant que système d'information : par l'imperfection, du marché-information.
- que les économistes sachent - mieux que les marchés ou avec eux - la valeur de l'information. L'information produite par les marchés, et celle qui est mal produite par eux.
- que le FMI et autres instances du Consensus de Washington pendant les grandes années 1990s, aient eu l'hubris de croire qu'ils savaient mieux - que les pays, que les économistes aux vues alternatives (simplement hors doctrine du "market fundamentalism", dit Stilglitz), et finalement mieux que les marchés? Prétention arrogance : pointe de la critique de Stiglitz, en tant qu'elles sont des fermetures autoritaires du débat.
Faillites, at the end of the day, de leurs outils de risk management.
=> information et débat. C'est à dire travail de valorisation, d'interprétation, de l'information. Son sens, non sa vérité. (Mais aussi un libéralisme un peu toothless, appui mou contre)
- note, 219 : les marchés et les gouvernements souffrent d'imperfection de l'information. Tous les acteurs. D'où la logique de demander du débat entre économistes et the various stakeholders. Dont question de corporate governance.
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