vendredi 23 décembre 2011

Géopolitique, "Realism" : théorie du conflit

Baldev Raj Nayar - le "realism" présenté comme théorie du conflit. Et posant comme antécédents, se réclamant de l'autorité culturelle de : Thucydide, Kautakya, Sun Tzu (49). ??, "Realism laims claim to an extraordinary rich heritage". Right.

51 : "In sum, competition, conflict and struggle for survival among states constitute the encompassing principle [italics his] in the working of the interstate system; cooperationn when it does occur among strates, is subordinate to that encompassing principle. That is the central message of realism."

Par pensée de la systématicité sur le centre absent. Spykman, Mackinder etc., sur le heartland, rimland... Et la relativité, opposée au libéralisme (ici la signification se construit donc, contre-disciplinairement, entre "realism" & liberalism), des rapports. Anthropologie de l'autorité, avec choix d'une prise sur l'historicité, ou contexte, contre l'absolu, individualiste et producteur d'inégalisation.
Jeu entre la liberté et le droit. (?)
NB : de quelle nature l'absolu libéral ? Par ignorance, forceful (et comptable : car restent toutes les externalités, indispensables, de non prises dans le compte : ce pan aveuglé), des médiations. "Empirisme" = compter pour un, accumulation comme addition... Idéologie du direct. 

Repères
- Hans J. Morgenthau, Politics Among Nations : classic realism standard,
- Kenneth N. Waltz, Theory of International Politics : of structural realism.
- John J. Mearsheimer, The Tragedy of Great Power Politics, ("offensive" / "defensive" realisms).

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