mardi 7 janvier 2014

Hydra et alter-monde (tiers monde)

Hypothèse de Hydra : que les résistances se sont faites dans l'histoire par la 'motley crew'. Par les 'coopérations' entre 'waged and unwaged', tenus separés par la racialisation. Par les connections et 'conspiracies' (Caliban-Trinculo-Stephano) contre les enclosures, fortifications, deforestations, expropriations de touted sortes.
Les mondes 'alternatifs', par la combinaison des variétés sociales, y compris compris singulièrement transraciale.

Mais le processus de la prolétarisation, reconnue et théorisée, avait déjà formé ces diversités - ces 'broken men' au sens d'Ambedkar, et proche de Gramsci - en classes.
L&R disent 'the amorphous class', 60. 'The expropriated'. Et tout de suite : 'the incipient class'. (Cf 63, catégorie des 'rogues', comme 'lazzaroni, underclass, lumpenprol.')
+ effets de 'levelling' - prison, naufrage, etc.
Ou y a-t-il la question de la distinction marxienne, que je sais toujours mal poser, entre prolétaires et lumpen ?
Question des subalternes, et du devenir peuple, devenir politique ; de l'hégémonisation. Ici, une hypothèse est celle de la politisation par la rencontre dans les espaces du refoulement des radicaux protestants, artisants, et expropriés.

One concept here is 'organize', 'self-organization'.
'Republic' (quoted), 63.