Au moment où je réfléchis à : le politique est peut-être une forme historique, le XIXe son siècle, ou l'Age des Révolutions, peut-être le pouvoir se vit-il et s'articule-t-il socialement diffemment maintenant, ce qui permettrait de regarder - avoir un point d'où regarder - les propositions sur le postpolitique, et le recalcul nécessaire de 'culture', 'social', 'politique' etc :
je rencontre aussi : Daniel Bensaïd, et le rappel léniniste (contre Arendt et l'hypothèse d'une disparition du politique dans le totalitarisme), de la dimension politique de la lutte, contre aussi la lecture de Marx qui socialise entièrement et confond le dépérissement de l'Etat (bureaucratique, excluant les sujets hors-jeu) avec la disparition de la politique.
Rappel de la dimension stratégique, qui rappelle que l'histoire n'est pas déterminée par le simple 'pari sociologique' d'une majoration nécessaire du prolétariat - mais faite de la lutte, et de l'incertitude de la lutte. La Politique comme art stratégique, Syllepse 2011 (ed. Antoine Artous).
je rencontre aussi : Daniel Bensaïd, et le rappel léniniste (contre Arendt et l'hypothèse d'une disparition du politique dans le totalitarisme), de la dimension politique de la lutte, contre aussi la lecture de Marx qui socialise entièrement et confond le dépérissement de l'Etat (bureaucratique, excluant les sujets hors-jeu) avec la disparition de la politique.
Rappel de la dimension stratégique, qui rappelle que l'histoire n'est pas déterminée par le simple 'pari sociologique' d'une majoration nécessaire du prolétariat - mais faite de la lutte, et de l'incertitude de la lutte. La Politique comme art stratégique, Syllepse 2011 (ed. Antoine Artous).
Il s'agit de penser une 'causalité historique' qui ne relève pas d'un déterminisme historique, mais d'une 'possibilité objective'. Émerge alors une 'autre rationalité. Où l'histoire se noue au politique. Où la connaissance devient stratégique.' (Intro d'A. Artous, 9-10)