Il y a bien une anthropologie de la modernité libérale à faire. Une prise anthropologique, d'un objet (et contexte, ce qui est une difficulté constitutive, ainsi évidemment que tout l'interêt) qui se prête plus à la rationalité discursivité qui l'a façonné, soit la philosophie politique.
Sans compte la part de comique toujours sympathique de porter l'anthropologie à son auteur historique, à contresens du regard intenté. Encore faut-il pour cette satisfaction et ses récompenses critiques que l'anthrographie faite soit saisissable, limpide.
C'est prendre la modernité libérale comme une culture, geste à la fois profondément juste et toujours déroutant. ça demande de décoller en particulier un réflexe allo-anthropo : concevoir une culture sans ethnisme ; une culture qui se dit post-ethnique (distribution axiologique même de la modernité : les autres sont des cultures, propres à être prises sous la catégorie de l'ethnie, Môa-Europe la modernité même et le politique, citoyenneté civility - Bhabha ici, que je peux mettre en regard d'Asad, tiens, effet de clarté.)
Sans compte la part de comique toujours sympathique de porter l'anthropologie à son auteur historique, à contresens du regard intenté. Encore faut-il pour cette satisfaction et ses récompenses critiques que l'anthrographie faite soit saisissable, limpide.
C'est prendre la modernité libérale comme une culture, geste à la fois profondément juste et toujours déroutant. ça demande de décoller en particulier un réflexe allo-anthropo : concevoir une culture sans ethnisme ; une culture qui se dit post-ethnique (distribution axiologique même de la modernité : les autres sont des cultures, propres à être prises sous la catégorie de l'ethnie, Môa-Europe la modernité même et le politique, citoyenneté civility - Bhabha ici, que je peux mettre en regard d'Asad, tiens, effet de clarté.)
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