Monde : comment les acteurs de la Mondialisation ont modelé le concept de monde depuis Bretton Woods (pour la reconstruction de l'Europe et pour le développement), puis Thatcher/Reagan et les nouvelles têtes aux 3 institutions déterminantes - World Bank, IMF, WTO (only configured 1995, predated by GATT).
On peut suivre au ras des réalisations les transformations, modelages, inflexions, usages, de "monde", "international", "flow", "transport", "development" (qui est un rapport de production/pauvreté, international dès l'origine), etc. Cf devise de la Banque Mondiale : "a world without poverty".
Globalization and its Discontents, Stiglitz 2002, me fait un rappel et un cadre pour partir là-dedans. Rappels historiques pour démarrer. Quelques.
Stiglitz comme perpective : l'imperfection des marchés (c'est le point de perspective de Keynes aussi), et sous les espèces particulières de l'économie - càd l' "asymétrie" - de l'information.
Historèmes de la Mondialisation : base dans la situation fin WW2. L'équilibre des pouvoirs refait à ce moment, puissance prise par les US (seul veto au FMI), décrochage de l'Europe sujet à la Reconstruction, tournant pour l'histoire coloniales réorientée par le trope du Développement. Souci financier keynésien, sur les échecs des marchés - modèle de la Grande Dépression, chômage, absence de la demande.
Puis tournant, idéologique, des 1980s. Quelle nature, quelle composition, cette motivation idéologique? Quel substrat matériel? Quelles nouvelles forces qui s'agrègent en l'aplomb de ces nouvelles énonciations?
Puis post-1989, soit, la question de la transition/sorties du communisme.
Le colonialisme a key issue and a key antecedent for all of this. La constitution du "Tiers-Monde". [que ce soit les "maîtres européens" qui se chargent de la pauvreté dans les colonies : disposition originale].
On peut suivre au ras des réalisations les transformations, modelages, inflexions, usages, de "monde", "international", "flow", "transport", "development" (qui est un rapport de production/pauvreté, international dès l'origine), etc. Cf devise de la Banque Mondiale : "a world without poverty".
Globalization and its Discontents, Stiglitz 2002, me fait un rappel et un cadre pour partir là-dedans. Rappels historiques pour démarrer. Quelques.
Stiglitz comme perpective : l'imperfection des marchés (c'est le point de perspective de Keynes aussi), et sous les espèces particulières de l'économie - càd l' "asymétrie" - de l'information.
Historèmes de la Mondialisation : base dans la situation fin WW2. L'équilibre des pouvoirs refait à ce moment, puissance prise par les US (seul veto au FMI), décrochage de l'Europe sujet à la Reconstruction, tournant pour l'histoire coloniales réorientée par le trope du Développement. Souci financier keynésien, sur les échecs des marchés - modèle de la Grande Dépression, chômage, absence de la demande.
Puis tournant, idéologique, des 1980s. Quelle nature, quelle composition, cette motivation idéologique? Quel substrat matériel? Quelles nouvelles forces qui s'agrègent en l'aplomb de ces nouvelles énonciations?
Puis post-1989, soit, la question de la transition/sorties du communisme.
Le colonialisme a key issue and a key antecedent for all of this. La constitution du "Tiers-Monde". [que ce soit les "maîtres européens" qui se chargent de la pauvreté dans les colonies : disposition originale].
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