Hobsbawm conclut Nations and Nationalism sur un chapitre ajouté dans l'actualité de la crise de l'URSS, pour publication en 1992 je crois. Prolongement nécessité par les développements nouveaux, et qui permet une clarification nouvelle, appronfondissant la théorisation, l'hypothèse historique longue élaborée dans le cours du volume.
Le chapitre est, comme les autres, en perspective cavalière, et évite (ne s'intéresse pas à) une définition, une caractérisation, de la nouvelle époque du nationalisme. Évitant par là de la fixer. Épingler. Mais il le semble qu'on est ici dans la nouveauté du multiculturalisme, et avant celle de la mondialisation : des époques qui se sont marquées autour de ces termes lieux communs historiques, périodisants.
Il parle beaucoup du Canada, symptomatiquement peut-être. Et des entités politiques devenues, comme condition présente, multiethniques et multiconfessionnels (? À revoir). Par la reprise des grands brassages de migrations, après l'immobilisation nationaliste de l'entre deux guerres (check - cette période de sédentarité, repli après les grandes extensions du libéralisme international du 19ème.)
Même s'il utilise aussi l'argument des nouveaux caractères multinationaux (le terme y est-il ? À voir) et transnationaux (il y est) des entreprises.
Il y a donc un moment, c.-à-d. une configuration historique, un bloc historique, où le mondial apparaît comme multiculturalisme : quelle historicité de ça ? Quelles lignes de front idéologiques autour de ça?
Le chapitre est, comme les autres, en perspective cavalière, et évite (ne s'intéresse pas à) une définition, une caractérisation, de la nouvelle époque du nationalisme. Évitant par là de la fixer. Épingler. Mais il le semble qu'on est ici dans la nouveauté du multiculturalisme, et avant celle de la mondialisation : des époques qui se sont marquées autour de ces termes lieux communs historiques, périodisants.
Il parle beaucoup du Canada, symptomatiquement peut-être. Et des entités politiques devenues, comme condition présente, multiethniques et multiconfessionnels (? À revoir). Par la reprise des grands brassages de migrations, après l'immobilisation nationaliste de l'entre deux guerres (check - cette période de sédentarité, repli après les grandes extensions du libéralisme international du 19ème.)
Même s'il utilise aussi l'argument des nouveaux caractères multinationaux (le terme y est-il ? À voir) et transnationaux (il y est) des entreprises.
Il y a donc un moment, c.-à-d. une configuration historique, un bloc historique, où le mondial apparaît comme multiculturalisme : quelle historicité de ça ? Quelles lignes de front idéologiques autour de ça?