Déqualification structurale - la vivre

Que fait-on avec une "déqualification structurale" - Bourdieu toujours éclairant - dans le rapport politique au savoir et ses formes sociales instituées en Enseignement? [Ceci en lisant le Dictionnaire des mouvements sociaux, Fillieule, Mathieu, Péchu, entrée "Frustrations relatives"]
Les mobilisations, leurs inventions, leurs freins structuraux, leurs échecs, leurs reflux ou stases en perplexité, leurs prolongements (leur vitesse : mais toujours inégale devant la vitesse des "réformes", toujours étonnante, vertigineuses les chutes).
Les analyses, les réseaux d'information très enrichis, très densifiés, y compris internationalement, ces appuis externes comparés, mutuels.
Et : vivre avec. Plus précisément : la vivre. L'observer. En faire un moyen de vivre, une forme de vie possible. La question du "modèle économique" du travail intellectuel now. Et de ses modèles simplement sociaux, et personnels.
Carrière des dominés des dominants, re-dominés. Modes de socialisation, politisation, et subjectivation dans ces conditions. Exit, voice, loyalty.
Il y a eu pas mal de loyalty dans les luttes universitaires des dernières années. Qui ont brouillé, empêtré l'énergie protestataire. Mais il fallait aussi ces avancées sur modes consensuels, unitaires.