Moment artistique du politique, je trouve en écrivant le texte pour avoir accompagner FEU !!
Les mouvements modernistes, leur articulation aux révolutions russe, éclats anar, féministes, puis poussées anticolonialistes. L'articulation exacte du l'art au politique, mais plus important pour une compréhension poétique, celle du politique à l'art.
La conséquence est celle d'une historicité radicale de l'art - une redéfinition réflexive, et toutes les formes de l'abyme, sont bien connues et célébrées, mais à pousser jusqu'à : la catégorie "art", qui est transhistorique dans les limites de son histoire.
Où en est l'art maintenant, comment il se positionne dans des stratégies, critiques et profiteuses. Comment il varie, et comment les poussées à ses marges - populaire, culturellement diverse, formellement nouvelle, idéologiquement reconfigurée - sont intégrées ou exclues de sa discussion. À voir de près, en laissant bouger flotter le cadre aussi largement qu'il a besoin. Ne pas chercher d'avance à conserver "art". Et savoir que le politique de ce qui a pu être pensé sous "l'art" bien possiblement se passe aujourd'hui, ici ou là, aujourd'hui ou à periodisations à savoir lire, autrement. Le phénomène qui est à rechercher, moins constant que serré autour de la question culture et politique, est celui des processus d'invention du politique ; utopies du sujet politique, par exemple - j'en suis à ça avec FEU !!
À nouveau des lectures comme Rancière, Badiou, Bouveresse (?), Danto, Didi-Huberman se présentent à l'esprit pour discussion. Boring, just a little bit. Pousser plus loin.
Les mouvements modernistes, leur articulation aux révolutions russe, éclats anar, féministes, puis poussées anticolonialistes. L'articulation exacte du l'art au politique, mais plus important pour une compréhension poétique, celle du politique à l'art.
La conséquence est celle d'une historicité radicale de l'art - une redéfinition réflexive, et toutes les formes de l'abyme, sont bien connues et célébrées, mais à pousser jusqu'à : la catégorie "art", qui est transhistorique dans les limites de son histoire.
Où en est l'art maintenant, comment il se positionne dans des stratégies, critiques et profiteuses. Comment il varie, et comment les poussées à ses marges - populaire, culturellement diverse, formellement nouvelle, idéologiquement reconfigurée - sont intégrées ou exclues de sa discussion. À voir de près, en laissant bouger flotter le cadre aussi largement qu'il a besoin. Ne pas chercher d'avance à conserver "art". Et savoir que le politique de ce qui a pu être pensé sous "l'art" bien possiblement se passe aujourd'hui, ici ou là, aujourd'hui ou à periodisations à savoir lire, autrement. Le phénomène qui est à rechercher, moins constant que serré autour de la question culture et politique, est celui des processus d'invention du politique ; utopies du sujet politique, par exemple - j'en suis à ça avec FEU !!
À nouveau des lectures comme Rancière, Badiou, Bouveresse (?), Danto, Didi-Huberman se présentent à l'esprit pour discussion. Boring, just a little bit. Pousser plus loin.
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