Two taxes on the go concerning morality.
One is through T Asad, and his reliance on "morality" as term to indicate the values & practices that bind a society together in "tradition" ('cause we can take "modernity" and "secularism" as traditions also, if there's going to be an anthropology of them envisaged), i.e. culture, way of life, etc. But "morality" looks striking in this light. Refers me first to the recent ligne de fuite des G du M, vers R Williams, EP Thompson, then Eagleton, why not, let's. Refers me also, with a fainter echo but attractive, towards philosophie morale and its historical bloc, and sciences morales. And moralistes. A category, and whole discursive plane (or "social space" - for Asad also explores the question of dimensions, like Arendt and like Marx with semi-autonomy, social, political, private, public, religious, secular, subjective, social etc. Hence the new mobility of "morality" in this recast play), belonging to a pre-political era in Europe. Pré-gouvernementalité.
Dans ce contexte, il me reste toujours à saisir ce que dessine "moral", toujours une difficulté, jamais éclairée depuis les premières encontre en adolescence. (Problème de la valeur, qui est celui du caractère, càd de l'apprentissage, dépressif.)
The second is with G Pleyers and "the (alter-globalisation) way of subjectivity". Pas mécontente d'avoir cette nouvelle occasion pour reprendre la compréhension de ce fil d'argument politique des dernières années, une revendication de l'absence de revendication (et alors, par ex, occupation, we are the), politique de la performance, quel sujet politique, etc. W Brown, J Butler s'y est située, les nouveaux anarchismes, ZAD... La question ici est : la difficulté de toute revendication de subjectivité comme positivée (ok ici, contre les subjectivités produites, càd éteintes, par la consommation et touts ses conséquences longues), et la croyance. Si on veut se baser sur la subjectivité crue, l'expérience réalisée, et la croyance dans le consensus (seul collectif possible sur ce point de départ ? Dans le fil de, ou de même que, la valeur diversité (toujours analyses de G Pleyers, 30s). Croyance dans le direct. Et diversité comme solution, modalité, de l'intersubjectivité. Alors : il faut reprendre à la racine des phénomènes, mouvements, de croyance. Penser le tout à partir d'une analyse, stratégique, de la croyance. Et faire apparaître les liens conceptuels de la croyance avec la critique - faire apparaître les possibilités critiques propres à cette pratique de la croyance, ou de la valeur, politique. De cette politique de la valeur.
De quelle nature ces mots d'ordre. Prendre depuis ici.
One is through T Asad, and his reliance on "morality" as term to indicate the values & practices that bind a society together in "tradition" ('cause we can take "modernity" and "secularism" as traditions also, if there's going to be an anthropology of them envisaged), i.e. culture, way of life, etc. But "morality" looks striking in this light. Refers me first to the recent ligne de fuite des G du M, vers R Williams, EP Thompson, then Eagleton, why not, let's. Refers me also, with a fainter echo but attractive, towards philosophie morale and its historical bloc, and sciences morales. And moralistes. A category, and whole discursive plane (or "social space" - for Asad also explores the question of dimensions, like Arendt and like Marx with semi-autonomy, social, political, private, public, religious, secular, subjective, social etc. Hence the new mobility of "morality" in this recast play), belonging to a pre-political era in Europe. Pré-gouvernementalité.
Dans ce contexte, il me reste toujours à saisir ce que dessine "moral", toujours une difficulté, jamais éclairée depuis les premières encontre en adolescence. (Problème de la valeur, qui est celui du caractère, càd de l'apprentissage, dépressif.)
The second is with G Pleyers and "the (alter-globalisation) way of subjectivity". Pas mécontente d'avoir cette nouvelle occasion pour reprendre la compréhension de ce fil d'argument politique des dernières années, une revendication de l'absence de revendication (et alors, par ex, occupation, we are the), politique de la performance, quel sujet politique, etc. W Brown, J Butler s'y est située, les nouveaux anarchismes, ZAD... La question ici est : la difficulté de toute revendication de subjectivité comme positivée (ok ici, contre les subjectivités produites, càd éteintes, par la consommation et touts ses conséquences longues), et la croyance. Si on veut se baser sur la subjectivité crue, l'expérience réalisée, et la croyance dans le consensus (seul collectif possible sur ce point de départ ? Dans le fil de, ou de même que, la valeur diversité (toujours analyses de G Pleyers, 30s). Croyance dans le direct. Et diversité comme solution, modalité, de l'intersubjectivité. Alors : il faut reprendre à la racine des phénomènes, mouvements, de croyance. Penser le tout à partir d'une analyse, stratégique, de la croyance. Et faire apparaître les liens conceptuels de la croyance avec la critique - faire apparaître les possibilités critiques propres à cette pratique de la croyance, ou de la valeur, politique. De cette politique de la valeur.
De quelle nature ces mots d'ordre. Prendre depuis ici.
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