Le texte sur FIRE!! est fait.
Ce n'est pas sans la licence du hors-scientifique. Je me suis engouffrée dans ses possibilités pour plusieurs plans de développements qui sont de bonne critique (la qualité des travaux qui viennent directement d'un rapport de poétique aux textes, toujours lumineuse et portant le bonheur de la confirmation, simplement, du pouvoir du poème), et je n'ai rien à regretter ici. Ce que le texte - càd sa programmation en lecture, traduction, invitation au commentaire, par l'astuce et finesse lectrices, et la capacité à l'aventure, d'IC - m'a offert, a offert.
Mais aussi.
Ce n'a pas été sans l'euphorie de la croyance. Multipliée par le plaisir de la dimension collective d'un projet, IC et ED et PN. Et celui de me trouver exceptionnellement à la charnière de la publication. La puissance particulière du livre et du beau livre. Vieux fantasme narcissique, idéal du sujet littéraire (mon bovarysme à moi), touché à sa satisfaction parfaite. La croyance tenue ici, grâce au plan où Ypsilon travaille : le milieu littéraire parisien et français, l'espace culturel, et ses efforts d'inscription, candidatures à CNL, à Conseil régional, à financements et relais de diffusion, Belles Lettres, librairies, mailles de la visibilité et de la légitimation, travail de la valeur. (Et jusqu'à l'effet de réalité produit par l'université elle-même en retour, qui se tourne vers l'espace social de la production littéraire pour arc-bouter ses propres inquiétudes du hors-sol : journée d'étude en préparation sur la littérature noire, cherche, bien attentivement, à mettre en face chercheurs et acteurs.) Qu'un livre soit tenu pour un livre, et un coup d'énonciation sur une scène littéraire en mouvement, petite histoire et sens élargi d'une histoire.
Croyance et critique. Cette bonne double dimension à observer. J'aimerais que les quelques occasions qui se dessinent déjà pour y repenser en discussion, librairie de Barbès, journée d'étude Littérature noire, etc., me permettent ça.
Ce n'est pas sans la licence du hors-scientifique. Je me suis engouffrée dans ses possibilités pour plusieurs plans de développements qui sont de bonne critique (la qualité des travaux qui viennent directement d'un rapport de poétique aux textes, toujours lumineuse et portant le bonheur de la confirmation, simplement, du pouvoir du poème), et je n'ai rien à regretter ici. Ce que le texte - càd sa programmation en lecture, traduction, invitation au commentaire, par l'astuce et finesse lectrices, et la capacité à l'aventure, d'IC - m'a offert, a offert.
Mais aussi.
Ce n'a pas été sans l'euphorie de la croyance. Multipliée par le plaisir de la dimension collective d'un projet, IC et ED et PN. Et celui de me trouver exceptionnellement à la charnière de la publication. La puissance particulière du livre et du beau livre. Vieux fantasme narcissique, idéal du sujet littéraire (mon bovarysme à moi), touché à sa satisfaction parfaite. La croyance tenue ici, grâce au plan où Ypsilon travaille : le milieu littéraire parisien et français, l'espace culturel, et ses efforts d'inscription, candidatures à CNL, à Conseil régional, à financements et relais de diffusion, Belles Lettres, librairies, mailles de la visibilité et de la légitimation, travail de la valeur. (Et jusqu'à l'effet de réalité produit par l'université elle-même en retour, qui se tourne vers l'espace social de la production littéraire pour arc-bouter ses propres inquiétudes du hors-sol : journée d'étude en préparation sur la littérature noire, cherche, bien attentivement, à mettre en face chercheurs et acteurs.) Qu'un livre soit tenu pour un livre, et un coup d'énonciation sur une scène littéraire en mouvement, petite histoire et sens élargi d'une histoire.
Croyance et critique. Cette bonne double dimension à observer. J'aimerais que les quelques occasions qui se dessinent déjà pour y repenser en discussion, librairie de Barbès, journée d'étude Littérature noire, etc., me permettent ça.
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