Tout ce qui se joue autour de la culture au milieu du 20eme siècle.
Je dis milieu pour voir si on peut prendre ensemble Clifford Geertz et Raymond Williams et al., ce qui n'est pas forcément juste : ou alors avec le paramètre de décalage inhérent dans l'histoire comparée de l'anglophonie conceptuelle - culture et Cultural Studies au UK pour une critique du marxisme un néo-marxiste critique des libéralismes culturels, des politiques libérales de la Culture (et on revient à la butée de M Arnold, en se dégageant de Leavis). Et culture dans l'anthropologie américaine, contre les béhavioristes, cognitivistes et positivistes en place dominante. Sur fond de counter-culture et d'extension du démocratique par la musique, l'université. Fond de l'ère d'hégémonisation agressive des EtasUnis, et ses machines de cold culture et militaro-academic complex.
Geertz se tortille et se défend de tous côtés pour la culture. L'énergie qu'il y dépense donne le prix, la nature de la pression, dans la situation épistémologique d'époque. Mais il faut sans doute saisir précisément ce qui est encore un contexte américain et pas encore global.
Voir aussi que c'est très vite ensuite que se fait l'émergence des cultural studies américaines, avec des motivations des poussées qui viennent autrement, par un autre angle, dans l'université et dans la cité. Minorities, New Social Movements, etc.
Je dis milieu pour voir si on peut prendre ensemble Clifford Geertz et Raymond Williams et al., ce qui n'est pas forcément juste : ou alors avec le paramètre de décalage inhérent dans l'histoire comparée de l'anglophonie conceptuelle - culture et Cultural Studies au UK pour une critique du marxisme un néo-marxiste critique des libéralismes culturels, des politiques libérales de la Culture (et on revient à la butée de M Arnold, en se dégageant de Leavis). Et culture dans l'anthropologie américaine, contre les béhavioristes, cognitivistes et positivistes en place dominante. Sur fond de counter-culture et d'extension du démocratique par la musique, l'université. Fond de l'ère d'hégémonisation agressive des EtasUnis, et ses machines de cold culture et militaro-academic complex.
Geertz se tortille et se défend de tous côtés pour la culture. L'énergie qu'il y dépense donne le prix, la nature de la pression, dans la situation épistémologique d'époque. Mais il faut sans doute saisir précisément ce qui est encore un contexte américain et pas encore global.
Voir aussi que c'est très vite ensuite que se fait l'émergence des cultural studies américaines, avec des motivations des poussées qui viennent autrement, par un autre angle, dans l'université et dans la cité. Minorities, New Social Movements, etc.
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