CH, point de repère et point de parole sur l'orientalisme et ses multiples défaites contemporaines - un pôle discursif qui m'importe et doit se rappeler à moi quand je vais être déportée par d'autres vers d'autres.
Les défaites : disons le "postmodernisme" d'une part, les islamismes crispés intervenant à partir de la Révolution iranienne (CH faisant de l'Iran sur terrain de recherche clé), et la critique de l'orientalisme par l'inspiration Said et sans doute, ici à Paris, anticolonialisme des années 70s.
Défaite dans la concurrence des disciplines : direction du CNRS (PVN) hostile à la Commission orientaliste (est-ce que c'est bien cette appelation ?, ça importe), réalisant sa dissolution.
Il y a une histoire ici, de politique scientifique et de science politique, précise et proche, les détenteurs de son récit importants à connaître, à consulter, à interroger activement avant que les générations ne passent en emportant les témoignages. Sans doute il faudrait faire un entretien avec CH, pour commencer.
Voir l'agence de Pierre Vidal-Naquet là. Il y a un noeud politique historique, point de bifurcation, bien crucial. Au fil de rasoir que constitue la guerre d'Algérie.
L'orientalisme et ce qui se perd dans sa dissolution : carrefour de disciplines, mais base scientifique commune - les langues, la connaissance des langues, le soubassement philologique. Et alors le naturel avec lequel CH accueille une interrogation aussi étrange, par état contemporain de l'art, sur langage et peuple et tout ce continu, de mon chantier Saussure.
La vue globale, compréhension des mouvements de l'histoire à niveau anthropologique (par exemple suggestions sur la rupture historique que constitue le monothéisme, par rapport historique à d'autres options de l'évolution intellectuelle en abstraction, travail intellectuel des sociétés : d'autres prennent par la philosophie ontologie, mais aussi par la mathématique (le 0) et la grammaire (Panini et al) en gardant le polythéisme, Inde. Le monothéisme en Egypte. Athon ?
Les défaites : disons le "postmodernisme" d'une part, les islamismes crispés intervenant à partir de la Révolution iranienne (CH faisant de l'Iran sur terrain de recherche clé), et la critique de l'orientalisme par l'inspiration Said et sans doute, ici à Paris, anticolonialisme des années 70s.
Défaite dans la concurrence des disciplines : direction du CNRS (PVN) hostile à la Commission orientaliste (est-ce que c'est bien cette appelation ?, ça importe), réalisant sa dissolution.
Il y a une histoire ici, de politique scientifique et de science politique, précise et proche, les détenteurs de son récit importants à connaître, à consulter, à interroger activement avant que les générations ne passent en emportant les témoignages. Sans doute il faudrait faire un entretien avec CH, pour commencer.
Voir l'agence de Pierre Vidal-Naquet là. Il y a un noeud politique historique, point de bifurcation, bien crucial. Au fil de rasoir que constitue la guerre d'Algérie.
L'orientalisme et ce qui se perd dans sa dissolution : carrefour de disciplines, mais base scientifique commune - les langues, la connaissance des langues, le soubassement philologique. Et alors le naturel avec lequel CH accueille une interrogation aussi étrange, par état contemporain de l'art, sur langage et peuple et tout ce continu, de mon chantier Saussure.
La vue globale, compréhension des mouvements de l'histoire à niveau anthropologique (par exemple suggestions sur la rupture historique que constitue le monothéisme, par rapport historique à d'autres options de l'évolution intellectuelle en abstraction, travail intellectuel des sociétés : d'autres prennent par la philosophie ontologie, mais aussi par la mathématique (le 0) et la grammaire (Panini et al) en gardant le polythéisme, Inde. Le monothéisme en Egypte. Athon ?
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