Il faut que je trouve dans Balibar, dans Castoriadis eventuellement, un éclaircissement puissant quant à la question du poème de peuple : l'alternative qu'il évoque en passant, comme remarque naturelle, entre épopée et tragédie. D'où cette habitude familière ? Vraisemblablement inclut des pans marxistes de pensée sur la tragédie (Benjamin ?) - voir les Russes, Brecht évidemment, etc. Lignes.
L'allégorie aussi, travaillée par Benjamin aussi.
Voir revoir comment Meschonnic la construit, dans 'allégoriquement pour tous'.
La forme de mon fantasme - le travail comme forme du désir, fait autre chose que le travail par forme institutionnelle et heureusement - me fait insister sur l'épopée. Rêver d'épopée, même si ma solution est dans le fil historique fin, les inventions épiques, les résonances épiques du poème chaque fois, engageant tout de sa langue. Alors que la tragédie s'enfonce dans les crises, bifurcations, détotalisation. Mais elle a aussi ses orthodoxies soit ses blocages de l'histoire : la paralysie dans la contradiction, le fétiche d'aporie. (Elle a?)
L'allégorie aussi, travaillée par Benjamin aussi.
Voir revoir comment Meschonnic la construit, dans 'allégoriquement pour tous'.
La forme de mon fantasme - le travail comme forme du désir, fait autre chose que le travail par forme institutionnelle et heureusement - me fait insister sur l'épopée. Rêver d'épopée, même si ma solution est dans le fil historique fin, les inventions épiques, les résonances épiques du poème chaque fois, engageant tout de sa langue. Alors que la tragédie s'enfonce dans les crises, bifurcations, détotalisation. Mais elle a aussi ses orthodoxies soit ses blocages de l'histoire : la paralysie dans la contradiction, le fétiche d'aporie. (Elle a?)
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