samedi 16 mai 2015

Aristote - déclinaison de peuple 3 : metechein, koine sumphero

Des associations, des institutions au moins coutumières, historiques, des collectifs : la communauté, koinonia, qui s'évoque en amont de la cité, au temps-être intermédiaire entre famille, village, et ce qui peut être cité ou peuplade,
et la participation, metechein, qui décrit les modes de l'organisation de la politeia. Qui participe à la politeia. A quel titre cette égalité en participation commune. (La question de la représentation n'est pas posée, so far at least, 305 : on n'est qu'à un commencement de la question de l'élargissement des cités, où il va falloir traiter du débordement des catégories par le nombre. L'articulation en petit nombre, grand nombre, multitude, ne suffira plus. Effets considérés, mais en mouvement vers autre chose, incidemment donc, p. 299 : question des loisirs de la multitude, alors que ce sont les riches qui ont 'la gêne' : de devoir s'occuper de leurs affaires ?)

L'avantage commun, koinè sumpheros, pierre de touche sur laquelle se déterminent les spécificités des régimes du commun. La tyrannie : déviation de la politeia par commandement 'à son avantage et non à celui des gouvernés' (310).
Comment fondé, en concpet et catégorie ? Quelle qualité fondamentale, de cette condition du politique ? A revoir.
Comment en particulier avantage commun et communauté se distinguent, dans une généalogie catégorielle de la politeia ?

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