Tout à fait intéressant de voir apparaître un maillon historique que j'avais ignoré, dans mon propre pré pourtant mais ; répéré de manière très floue et périphérique mais ce n'est que maintenant que j'en comprends la conjoncture :
Michel Wieviorka sur Nationalisme, populisme, ethnicité, en 1993. Tout le débat sur le nationalisme au tournant de 1990, avec la dissolution de l'URSS et pas encore l'explosion de la Yougoslavie, still brewing there at the time. Les gros travaux de Taguieff, le débat français sur l'antiracisme après 1983, mais en contemporain de Hobsbawm (lu en anglais par MW), Balibar-Wallerstein (double parution dans les deux langues, avec d'ailleurs un assemblage de traduction/version particulier si je me souviens bien, deux auteurs), B Anderson (lu en vo), E Gellner / D Schnapper, P Birnbaum et Z Sternell. À travers toute ce période, le travail de MW, avec ses collègues sociologues (époque Solidarnosc, ETA ; violence terroriste comme figure problématique ausksi), et dans le sillage d'A Touraine - soit, la question posée par les NMS à la sociologie.
Période, conjoncture : les nouvelles démocraties générées dans la fragmentation du bloc soviétique en Europe de l'Est, et comment elles pèsent dans la bascule d'une compréhension de la démocratie à compter de ce moment. La Pologne est un cas test pour Wieviorka.
MW note bien, pour cadre de travail en clarification, le "champ" des sociologies : relais des anciens pôles de "l'ordre et la reproduction" (17, incluant Althusser Foucault Bourdieu), et sans doute ancien aussi "sociologie de la décision" (??, Aron et M Crozier), + libéralisme avec individualisme méthodologique de Raymond Boudon - relais par la sociologie de l'action. Qui se pratique comme : des acteurs.
Comment ces réflexions et sondages historiques dans la formation des nationalismes, aussi, sont doublées du, et plus ou moins aware du, développement de la réflexion postcolonialiste sur la colonialité de la modernité - Nation and Narration, HB etc. Rapports et non-rapports ?
Michel Wieviorka sur Nationalisme, populisme, ethnicité, en 1993. Tout le débat sur le nationalisme au tournant de 1990, avec la dissolution de l'URSS et pas encore l'explosion de la Yougoslavie, still brewing there at the time. Les gros travaux de Taguieff, le débat français sur l'antiracisme après 1983, mais en contemporain de Hobsbawm (lu en anglais par MW), Balibar-Wallerstein (double parution dans les deux langues, avec d'ailleurs un assemblage de traduction/version particulier si je me souviens bien, deux auteurs), B Anderson (lu en vo), E Gellner / D Schnapper, P Birnbaum et Z Sternell. À travers toute ce période, le travail de MW, avec ses collègues sociologues (époque Solidarnosc, ETA ; violence terroriste comme figure problématique ausksi), et dans le sillage d'A Touraine - soit, la question posée par les NMS à la sociologie.
Période, conjoncture : les nouvelles démocraties générées dans la fragmentation du bloc soviétique en Europe de l'Est, et comment elles pèsent dans la bascule d'une compréhension de la démocratie à compter de ce moment. La Pologne est un cas test pour Wieviorka.
MW note bien, pour cadre de travail en clarification, le "champ" des sociologies : relais des anciens pôles de "l'ordre et la reproduction" (17, incluant Althusser Foucault Bourdieu), et sans doute ancien aussi "sociologie de la décision" (??, Aron et M Crozier), + libéralisme avec individualisme méthodologique de Raymond Boudon - relais par la sociologie de l'action. Qui se pratique comme : des acteurs.
Comment ces réflexions et sondages historiques dans la formation des nationalismes, aussi, sont doublées du, et plus ou moins aware du, développement de la réflexion postcolonialiste sur la colonialité de la modernité - Nation and Narration, HB etc. Rapports et non-rapports ?
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