Je comprends un peu, commençant à rentrer dans the meat of the subject, comment The Satanic Verses a pu générer telle affaire en 1989. Rushdie enfonce profondément dans la réécriture, quite a "journey" himself, et clairement il ne s'agit pas d'un geste parodique et joueur. La verve est là, légèrement énervante comme toujours, très datée 80s, quelle joie hyper-articulatoire veut-on y suivre, dans le premier chapitre indien-anglais. Le deuxième, repassant dans l'histoire de Mahomet, de La Mecque à Medine, passe à un autre plan. On n'est plus dans un jeu, peut-être.
Talal Asad promet un argument sur le geste politique du livre ; je garde cette lecture en attente, dans les Genealogies of Religion, pour la fin du parcours dans le roman.
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