Mince alors, me revoilà avec Faye dans Grégoire de Tours (je crois qu'il va s'agir du mythe français de la descendance troyenne), et dans l'epos - "le dangereux epos" de la séquence nazie, mais aussi le crochet que fait cette séquence dans l'histoire longue où Marx a inscrit le nouvel empire du roman, contemporain du capitalisme.
Conjugaison obligatoire dans mon parcours de lecture avec les rencontres de Saussure, Grégoire de Tours, l'épisme, et l'ethnisme/social/populaire que ça détermine. En époque coloniale (et d'episteme coloniale) maximale/s.
Ce qui fera de Faye un post-moderne, à situer vis à vis d'un Lyotard (1972 vs 1979 pour La Condition postmoderne). Un retour de l'epos, "plus fondamental", mais dans une "prosodie des langages" - gros morceau -, proposé sur un mode de la coupe.
Lyotard aussi est sur le récit, pour penser les jeux de langage. Et négocie lui aussi une articulation de la philo avec l'analytique anglophone. Est aussi sur les hiatus, dissensus, "des langages", post-empires.
Conjugaison obligatoire dans mon parcours de lecture avec les rencontres de Saussure, Grégoire de Tours, l'épisme, et l'ethnisme/social/populaire que ça détermine. En époque coloniale (et d'episteme coloniale) maximale/s.
Ce qui fera de Faye un post-moderne, à situer vis à vis d'un Lyotard (1972 vs 1979 pour La Condition postmoderne). Un retour de l'epos, "plus fondamental", mais dans une "prosodie des langages" - gros morceau -, proposé sur un mode de la coupe.
Lyotard aussi est sur le récit, pour penser les jeux de langage. Et négocie lui aussi une articulation de la philo avec l'analytique anglophone. Est aussi sur les hiatus, dissensus, "des langages", post-empires.
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