Très certainement, de nouveaux pidgins & créoles, dans le cours toujours prolongé et épaissi de la salade de migration en Europe, pour ne parler que d'ici. Je garde un œil sur la question des langues, et sur ce qui peut se penser du plan des langues, de la traduction, et même d'une prise philologique sur l'actualité de ces situations contemporaines qui rebattent les cartes du national et mondial dans l'espace de mon ici. Pas facile. Bêtise des prises qui se suggèrent par les outils ordinaires : bêtise heureuse et humiliation éperon, pour mettre en relief leurs idéalismes, et chercher quels nouveaux plans, souvent à inventer entre discursivités (je commence par disciplinaires), peuvent commencer à se poser juste.
Commencer par l'étonnement des langues dont le BAAM etc. m'apprennent la situation : pashto, farsi, bengali, outre les arabes attendus, etc. Etc.
Et premières amorces de méthode critique par l'expérience Taxi évoquée par Mezzadra et Neilson. Où ils s'allient Sakai (traduction et enjeux de l'hétérogénéité) et Apter, que je prendrai jusqu'à la notion seule de zone de traduction, et ses suites critiques.
Commencer par l'étonnement des langues dont le BAAM etc. m'apprennent la situation : pashto, farsi, bengali, outre les arabes attendus, etc. Etc.
Et premières amorces de méthode critique par l'expérience Taxi évoquée par Mezzadra et Neilson. Où ils s'allient Sakai (traduction et enjeux de l'hétérogénéité) et Apter, que je prendrai jusqu'à la notion seule de zone de traduction, et ses suites critiques.
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