D'accord pour le couplage langue-peuple sous cet aspect, où il dit quelque chose de l'anthropologique : que celui-ci est justement langagier. Parler d'une langue et du peuple qui la parle est juste : car ce peuple devient mobilisé, à travers toutes frontières nationales politiques ou autres quelles qu'elles soient, par ce geste d'interpellation même. C'est un peuple crée imaginé par le geste de discours, proposé à l'attention, et alors il s'agit d'en calculer les effets projetés sur les realia des multiples couches superposées/chevauchantes du populaire. C'est un travail de grande précision, comme tout effort d'imagination cherchant à re-conceptualiser.
Il faut alors commencer à frayer les conséquences de cet assemblage qui justement ne s'institue pas dans des formes politiques, peu seulement dans des formes culturelles. Sans doute il vaut mieux diriger l'étude vers des noeuds historiques de ses réalisations. Comme d'ailleurs quand il s'agit de toute considération en histoire des discours.
Il faut alors commencer à frayer les conséquences de cet assemblage qui justement ne s'institue pas dans des formes politiques, peu seulement dans des formes culturelles. Sans doute il vaut mieux diriger l'étude vers des noeuds historiques de ses réalisations. Comme d'ailleurs quand il s'agit de toute considération en histoire des discours.
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