Dans la longue formation depuis l'invention de l'Ouest (Occidentalisme, repéré par ex par Mignolo, qui l'indexe à Jefferson pour une formulation, créole et à maturité), stades plus recents :
2000s : CZ me fait apparaître, jeudi soir TR : "Global South" dans la décennie de l'émergence des BRICS, juste. C'est aussi celle de la désagrégation de l'alter-mondialisme, et voir les dates concernant les WSF, après Seattle et Gènes.
2010s : des Printemps arabes, aux anti-mondialisation "populistes". Sera ça ?
2008 un tournant majeur, peut-être lisible ultérieurement comme la fin du néolibéralisme dominant. Steven Erlanger, Gary Gerstle & Bonnie Greer en débat à la LSE mercredi : que les possédants (du Nord, électeur des actuels populismes) se sont bien tirés de la crise mais pas les classes travail ou moyennes. Division de trajectoire.
Juste également, Shalini le suggère à la JE d'hier : il faut commencer à fracturer le raisonnement par "néolibéralisme". Son long usage en lui-même indique qu'il s'est transformé en recours automatique. Le réexaminer, l'actualiser, trouver ses tranchants actuels. Qui peuvent être à son revers aussi. L'anti-mondialisation des mondialisateurs.
Prendre par internationalismes musulmans, et par la généalogie de "peuple" et "peuples".
NB pour rappel aussi, ne pas laisser filer :
1973 : "la Crise". Chocs pétroliers, moment de l'infléchissement du compact fordiste. Des coups successifs viendront : Pinochet, révolution iranienne, (mais décolonisation portugaise en Afrique). Le temps que l'imagination capitaliste se refasse un programme, une décennie pour tourner (faudrait regarder de près, et par exemple du côté précisément des compositions en multinationales,
; le traitement du problème pétrolier par la visée de dés-industrialisation financière au Nord qui est encore Ouest à cette époque ; l'état de l'équilibre de la Guerre froide, 1977 est une date), et hop, Reagonomics Hayek et la Décennie de la politique économique idéologique.
2000s : CZ me fait apparaître, jeudi soir TR : "Global South" dans la décennie de l'émergence des BRICS, juste. C'est aussi celle de la désagrégation de l'alter-mondialisme, et voir les dates concernant les WSF, après Seattle et Gènes.
2010s : des Printemps arabes, aux anti-mondialisation "populistes". Sera ça ?
2008 un tournant majeur, peut-être lisible ultérieurement comme la fin du néolibéralisme dominant. Steven Erlanger, Gary Gerstle & Bonnie Greer en débat à la LSE mercredi : que les possédants (du Nord, électeur des actuels populismes) se sont bien tirés de la crise mais pas les classes travail ou moyennes. Division de trajectoire.
Juste également, Shalini le suggère à la JE d'hier : il faut commencer à fracturer le raisonnement par "néolibéralisme". Son long usage en lui-même indique qu'il s'est transformé en recours automatique. Le réexaminer, l'actualiser, trouver ses tranchants actuels. Qui peuvent être à son revers aussi. L'anti-mondialisation des mondialisateurs.
Prendre par internationalismes musulmans, et par la généalogie de "peuple" et "peuples".
NB pour rappel aussi, ne pas laisser filer :
1973 : "la Crise". Chocs pétroliers, moment de l'infléchissement du compact fordiste. Des coups successifs viendront : Pinochet, révolution iranienne, (mais décolonisation portugaise en Afrique). Le temps que l'imagination capitaliste se refasse un programme, une décennie pour tourner (faudrait regarder de près, et par exemple du côté précisément des compositions en multinationales,
; le traitement du problème pétrolier par la visée de dés-industrialisation financière au Nord qui est encore Ouest à cette époque ; l'état de l'équilibre de la Guerre froide, 1977 est une date), et hop, Reagonomics Hayek et la Décennie de la politique économique idéologique.
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