L'euphorie de se reconnaître, après l'effort dépensé (S Dufoix, F Cusset, Simon Tabet) pour rassembler ce groupe pour le colloque Théorie critique et Global South : s'y retrouver, your tribe (F Moore Lappé), malgré la dépression qui fait toutes les conversations (état de Trump), et malgré en matinée au moins la maigreur du public : la faiblesse, minorité, du rendez-vous.
L'euphorie : le bien que ça fait de parler à ces niveaux d'analyse, informés, détaillés, internationalisés au sens de la compréhension large et multisituée des questions. La masse d'information et de culture conceptuelle comme humus commun, à partir duquel les vues apportées viennent dégager des ouvertures, tracer ces crêtes, déplacer les lignes, rafraîchir les perspectives effectivement. Partager aussi le mode de vie de gros lecteurs, de travail d'invention dans les textures (soit luttes) institutionnelles, et de circulation dans les locations du savoir.
Il y a la situation française, dans ces effets : francophone d'une part (G Players est dans la même position de conversation), et française en sus (il le souligne, comme notable, spécifique).
Je me sens : habituée de la minorité obscurité minoration d'une part. Et d'une autre : sans adhésion sans investissement particulier, pour cause d'anglicismes, dans la situation française. Je note cette observation. Elle sert : à aiguiser l'attention vers les verrous intellectuels et institutionnels en France, historiquement signifiants dans leur variation pour toute compréhension du mondial. Éclairants. Faut l'analyser.
FC note : pas les collègues par proximité, pas les activistes. Je note aussi, connection manquée avec les zones EHESS et chercheurs hors université. Shalini note : illisibilité, pour regard international, de la scène de la recherche à Paris.
État du speech-act. Activer ces voix dans la "location" français
Aux mêmes dates exactement que "Theory Now" à la nouvelle Colonie, Kader Attia, Lionel Ruffel, la puissance de ces réinventions ré-agrégations etc.
Beaucoup à récolter les travaux de jeudi et vendredi, agenda.
L'euphorie : le bien que ça fait de parler à ces niveaux d'analyse, informés, détaillés, internationalisés au sens de la compréhension large et multisituée des questions. La masse d'information et de culture conceptuelle comme humus commun, à partir duquel les vues apportées viennent dégager des ouvertures, tracer ces crêtes, déplacer les lignes, rafraîchir les perspectives effectivement. Partager aussi le mode de vie de gros lecteurs, de travail d'invention dans les textures (soit luttes) institutionnelles, et de circulation dans les locations du savoir.
Il y a la situation française, dans ces effets : francophone d'une part (G Players est dans la même position de conversation), et française en sus (il le souligne, comme notable, spécifique).
Je me sens : habituée de la minorité obscurité minoration d'une part. Et d'une autre : sans adhésion sans investissement particulier, pour cause d'anglicismes, dans la situation française. Je note cette observation. Elle sert : à aiguiser l'attention vers les verrous intellectuels et institutionnels en France, historiquement signifiants dans leur variation pour toute compréhension du mondial. Éclairants. Faut l'analyser.
FC note : pas les collègues par proximité, pas les activistes. Je note aussi, connection manquée avec les zones EHESS et chercheurs hors université. Shalini note : illisibilité, pour regard international, de la scène de la recherche à Paris.
État du speech-act. Activer ces voix dans la "location" français
Aux mêmes dates exactement que "Theory Now" à la nouvelle Colonie, Kader Attia, Lionel Ruffel, la puissance de ces réinventions ré-agrégations etc.
Beaucoup à récolter les travaux de jeudi et vendredi, agenda.
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