En effet, mieux situé le kyste idéologique autour du communautarisme après discussion dans La Suite dans les idées du travail de Fabrice Dhume-Sonzogni, présentant son Enquête sur une chimère du nationalisme français, 2016.
Pas entièrement clarifié, dans ce cadre de diffusion, la qualité de chimère - soit articulation d'irréalité référentielle et de réalité pragmatique.
Mais mieux repéré la valeur, et l'enjeu où a porté historiquement - débat très 80s et suites - l'agitation médiatique, 'publique', vox populi : oui comprendre ensemble des effets de peuple (mouvements, autour de revendications et mots de passe) à la fois culturels et sociétaux, mouvements gay comme mouvements antiracistes, époque avancée des Nouveaux mouvements sociaux et leurs déclinaisons stratégiques en politiques d'identité, identity politics.
La confusion, une façon de voir, mais on peut dire aussi, prendre aussi, par la trans-solidarité précisément, entre féminisme (déjà on est sur ce fil dans un moment post-acmé des 70s), poussée politique des questions de genre (début LGBT et SIDA), droits culturels et nouvelles présences politiques des minorités immigrées ou racisées etc. Et les frictions avec les retours du refoulé colonial en France, très serré (années du thème de la repentance, et du sanglot de l'homme blanc).
À quoi s'est ajouté, par une coïncidence historique qui est sans doute de nature et indissociable, les nouvelles trajectoires neoconservative aux EtatsUnis puis nouveaux réacs en France, qui ont troublé les réflexes de lecture et agité elles-mêmes des cercles d'agitation médiatique/'intellectuelle supplémentaires.
Nouvelle valeur politique de l'identité, et les peuples formés par mots stratégiques d'identité.
C'est aussi à historiciser en histoire commune avec 'multiculturalisme', et ce noeud de débat.
Pas entièrement clarifié, dans ce cadre de diffusion, la qualité de chimère - soit articulation d'irréalité référentielle et de réalité pragmatique.
Mais mieux repéré la valeur, et l'enjeu où a porté historiquement - débat très 80s et suites - l'agitation médiatique, 'publique', vox populi : oui comprendre ensemble des effets de peuple (mouvements, autour de revendications et mots de passe) à la fois culturels et sociétaux, mouvements gay comme mouvements antiracistes, époque avancée des Nouveaux mouvements sociaux et leurs déclinaisons stratégiques en politiques d'identité, identity politics.
La confusion, une façon de voir, mais on peut dire aussi, prendre aussi, par la trans-solidarité précisément, entre féminisme (déjà on est sur ce fil dans un moment post-acmé des 70s), poussée politique des questions de genre (début LGBT et SIDA), droits culturels et nouvelles présences politiques des minorités immigrées ou racisées etc. Et les frictions avec les retours du refoulé colonial en France, très serré (années du thème de la repentance, et du sanglot de l'homme blanc).
À quoi s'est ajouté, par une coïncidence historique qui est sans doute de nature et indissociable, les nouvelles trajectoires neoconservative aux EtatsUnis puis nouveaux réacs en France, qui ont troublé les réflexes de lecture et agité elles-mêmes des cercles d'agitation médiatique/'intellectuelle supplémentaires.
Nouvelle valeur politique de l'identité, et les peuples formés par mots stratégiques d'identité.
C'est aussi à historiciser en histoire commune avec 'multiculturalisme', et ce noeud de débat.
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