Oui, juste, la prise de Saussure par la critique du signe, et Meschonnic suit Benveniste et l'élabore, là-dessus : sémantique sans sémiotique. Bien ce qui est en jeu dans les Légendes, mais ce n'est pas réglé si franchement que ça. Et je ne sais pas si lecture et relecture en viendront à bout, j'y piétine.
Les Légendes sont l'effort exploratoire, à l'aventure (vertige ! Il n'a pas froid aux yeux, à lancer les catégories à l'eau, 'abandon de toute origine', et 'abandonné par toutes les métaphores', et il implique des masses de travail textuel et référentiel), pour une sémiologie non linguistique. Ce qui advient du signe alors, non linguistique. Recherche des contours du signe légendaire, narratif alors (mais figures énonciatives aussi, et figures subjectives, figures des effets de sujet/transsujet tout particulièrement).
Les Légendes sont l'effort exploratoire, à l'aventure (vertige ! Il n'a pas froid aux yeux, à lancer les catégories à l'eau, 'abandon de toute origine', et 'abandonné par toutes les métaphores', et il implique des masses de travail textuel et référentiel), pour une sémiologie non linguistique. Ce qui advient du signe alors, non linguistique. Recherche des contours du signe légendaire, narratif alors (mais figures énonciatives aussi, et figures subjectives, figures des effets de sujet/transsujet tout particulièrement).
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