Alors par où il faut partir, pour suivre Saussure.
Ses propres directions, ouvertures, sont notoirement difficiles à identifier en tant que directions. Anagrammes et Légendes, multiplient les difficultés - philologiques (état des textes, état de la réflexion) entre autres.
Il s'agit de cerner des sémiologies qui courent à côté de la linguistique. Et la zone de distinction entre parole et langue (et juste un cran plus loin, celle qui concerne parole et pratique sociale, le mythe, le rite, les institutions, l'Etat) est justement mobile, puisque c'est elle qui est à l'épreuve. C'est sur elle que porte la pression conceptuelle, exploratoire, interrogative à la puissance de Saussure. Son intelligence vertigineusement libérée, et le volume de matière qu'il est capable de mobiliser, en langues et en textes et en bibliothèque du linguiste.
J'ai toujours l'intuition, pétition de principe ou reeling in your bones, you know, (forme du désir, complexion personnelle), qu'on passera, tout légèrement comme fait Benveniste, par la dissolution de la langue dans le discours, jusqu'au bout de l'historicité. On y est déjà positivement dans Saussure avec les conclusions sur la variation. Mais la langue se reforme et se remuscle, quand il s'agit d'autres combats, autres engagements critiques, avec d'autres niveaux articulatoires de l'anthropoligique : pour la distinction entre sémiologies, où Saussure travaille la spécificité de la linguistique. C'en est l'enjeu, en fait ; spécifier la sémiologie linguistique est l'enjeu de ses développements vers les linguistiques de la parole, qui se branchent aux histoires sociales et institutions non linguistiques.
L'enjeu est de cerner le régime singulier de l'arbitraire radical, propre au langage, est décelable, au moins dans l'histoire de la linguistique et dans son épisode saussurien, dans l'acte conceptuel d'isoler la langue. La seule des institutions humaines où pas par le rapport avec les choses.
Cette histoire n'est pas finie. Langue et parole, ce n'est pas fini par le discours.
Sémiologie du discours, simplicité éclatante de ce qui est acquis par elle contre les entraves du signe. Bien. Mais les ou l'autre/s face du contre, les confusions du social (is that it, that the direction ?) ... À poursuivre.
Est-ce que c'est la question de la discursivité du social et ce qui est ensuite possible de récolter pour une vue de la valeur (dimension que repère le concept d'arbitraire radical) dans l'ordre du social ?
Ses propres directions, ouvertures, sont notoirement difficiles à identifier en tant que directions. Anagrammes et Légendes, multiplient les difficultés - philologiques (état des textes, état de la réflexion) entre autres.
Il s'agit de cerner des sémiologies qui courent à côté de la linguistique. Et la zone de distinction entre parole et langue (et juste un cran plus loin, celle qui concerne parole et pratique sociale, le mythe, le rite, les institutions, l'Etat) est justement mobile, puisque c'est elle qui est à l'épreuve. C'est sur elle que porte la pression conceptuelle, exploratoire, interrogative à la puissance de Saussure. Son intelligence vertigineusement libérée, et le volume de matière qu'il est capable de mobiliser, en langues et en textes et en bibliothèque du linguiste.
J'ai toujours l'intuition, pétition de principe ou reeling in your bones, you know, (forme du désir, complexion personnelle), qu'on passera, tout légèrement comme fait Benveniste, par la dissolution de la langue dans le discours, jusqu'au bout de l'historicité. On y est déjà positivement dans Saussure avec les conclusions sur la variation. Mais la langue se reforme et se remuscle, quand il s'agit d'autres combats, autres engagements critiques, avec d'autres niveaux articulatoires de l'anthropoligique : pour la distinction entre sémiologies, où Saussure travaille la spécificité de la linguistique. C'en est l'enjeu, en fait ; spécifier la sémiologie linguistique est l'enjeu de ses développements vers les linguistiques de la parole, qui se branchent aux histoires sociales et institutions non linguistiques.
L'enjeu est de cerner le régime singulier de l'arbitraire radical, propre au langage, est décelable, au moins dans l'histoire de la linguistique et dans son épisode saussurien, dans l'acte conceptuel d'isoler la langue. La seule des institutions humaines où pas par le rapport avec les choses.
Cette histoire n'est pas finie. Langue et parole, ce n'est pas fini par le discours.
Sémiologie du discours, simplicité éclatante de ce qui est acquis par elle contre les entraves du signe. Bien. Mais les ou l'autre/s face du contre, les confusions du social (is that it, that the direction ?) ... À poursuivre.
Est-ce que c'est la question de la discursivité du social et ce qui est ensuite possible de récolter pour une vue de la valeur (dimension que repère le concept d'arbitraire radical) dans l'ordre du social ?
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